Vue normale
-
Assemblée nationale
- Compte rendu de réunion n° 58 - Commission des affaires culturelles et de l'éducation
Awkward and curious (furialog)
Personally, I organize my listening in weeks, and model those weeks in playlists. Curio has a page for looking at which artists you have put in your playlists, and how often. And because my playlists are dated, it makes sense to me to be able to filter mine by year. But because this may not make the same sense for your playlists, I didn't build a year-filtering feature, I built a filtering feature.
The controls for it are at the bottom of the Playlists page in Curio:

index lets you control which of your playlists are indexed. I make a lot of playlists that are not actually expressions of my own tastes or conduits of my listening, so I've chosen to only index the ones that begin with "New Particles," or "New Songs,". You can put any number of name-prefixes here, ending each one with an asterisk.
filter lets you provide a set of filters in the form of substrings to match against playlist titles. Separate them with commas, and if you start one of the filters with an asterisk, that will give you a magic filter that selects everything, labeled without the asterisk: so "*all" here produces an all-filter labeled "all".

That's kinda flexible, but having to type out the exact filters you want only makes sense if the set is small and doesn't change much, and only doing substring-matching against playlist names is a pretty limited scope.
So the other way you can configure filters is by writing a Dactal query. It has to start with playlisted, which gets you the list of all the tracks from all the indexed playlists.

It has to end with groups of those tracks.

The groups are the filter choices. My query takes the playlist name, splits it at the comma to extract the date, pulls the year out of that date, groups by that year, and sorts the resulting year-groups in numeric order. But as long as your query starts with "playlisted" and ends with groups, it between it can do whatever you want. Once you have it working your way, just copy it into the "filter" box:

The magic "all" filter is added automatically if you're using a query. I should probably add an option to control that, but I haven't yet. This gets us back to:

...except dynamically, now, so I won't have to remember to add 2026 by hand, it will just appear when needed. Assuming, bravely, that neither AI nor fascists have consumed us before then.
If Curio were a commercial application, surely we would never ship a feature anywhere near this awkward and unguarded. But it isn't, and "we" is me, and I'm trying to imagine what the world could be like if your software invited you to be awkward and unguarded instead of pandered to; curious instead of customers.
PS: Also...

-
la CGT Culture
- Groupe de travail sur le corps des ICCEAAC du 14 mars 2025 : à peine au milieu du gué !
Groupe de travail sur le corps des ICCEAAC du 14 mars 2025 : à peine au milieu du gué !
Paris, le 27 mars 2025
À la suite de la mobilisation exceptionnelle du corps le 18 juin 2024, l’administration du ministère de la Culture a réuni les ICCEAAC en annonçant la reprise de discussions sur l’organisation d’un concours de recrutement. Condition incontournable de l’administration (et de la Ministre) pour discuter de ce concours : sa simplification.
Si le corps des ICCEAAC qui s’est réuni à de nombreuses reprises, en lien avec l’intersyndicale CFDT-CULTURE et CGT-CULTURE a accepté de travailler à une simplification du concours de recrutement, c’était en échange d’améliorations statutaires significatives pour faire face au déclassement qu’a subi ce corps depuis dix ans et en renforcer l’attractivité aussi bien en interne (contractuels, attachés d’administration) qu’en externe.
En amont de la réunion du 14 mars 2025, les organisations syndicales ont donc remis à l’administration une proposition de décret modifié intégrant un certain nombre d’évolutions et de revendications.
À ce jour, en dépit de propositions constructives de l’intersyndicale, et sous réserve du retour écrit sur ces propositions auquel s’est engagé le secrétaire général adjoint, les réponses de l’administration ne sont pas à la hauteur de la situation.
Les revendications suivantes ont été portées :
- La garantie de l’organisation d’un concours de recrutement tous les deux ou trois ans, Amélioration des circuits de nomination en sortie de concours et en cours de carrière, Publicité et promotion du concours ;
- Le maintien et la réunion régulière de la Commission d’évaluation technique (CET) des ICCEAAC ainsi que son rôle dans l’organisation du concours ;
- La réforme du décret statutaire des ICCEAAC sur la notion d’encadrement supérieur de l’État et la dimension interministérielle de ce corps ;
- Une amélioration significative des conditions de reprise d’ancienneté lors du classement d’entrée dans le corps ;
- La mise en place d’une formation obligatoire lors de la prise de fonction et diversification du parcours de formation tout au long de carrière ;
- La réévaluation des grilles salariales, notamment la révision des conditions d’accès au hors classe en prenant en compte l’intégralité de la carrière (y compris avant l’entrée dans le corps, pour les questions de mobilité) ;
- La prise d’un engagement pluriannuel du ministère de la Culture sur un taux de promotion significativement supérieur à l’actuel (13 %), en vue d’un objectif maximal d’effectifs hors- classe dans le corps ;
- La réouverture des discussions avec la DGAFP pour une intégration des ICCEAAC à l’encadrement supérieur.
Ce que nous avons obtenu à ce stade :
- La perspective d’un concours courant 2026 ;
- Le maintien en l’état de la Commission d’évaluation technique (avec rédaction d’un règlement intérieur) ;
- L’introduction de la notion d’encadrement dans le décret statutaire du corps (à ne pas confondre avec celle de l’encadrement supérieur de l’État, à l’image des conservateurs et des architectes urbanistes de l’État) ;
- La clause obligatoire de mobilité géographique ou fonctionnelle qui permettait l’accès à la liste des promouvables pour la hors-classe serait remplacée au profit de critères qui englobent les différents aspects de la carrière des ICCEAAC ;
- L’engagement de l’administration à soutenir auprès de la Direction générale de l’adminis- tration et de la fonction publique (DGAFP) un taux de promotion beaucoup plus avantageux pour le corps que l’actuel à 13 %.
Ce qui est encore en discussion :
- Sur le concours : l’intersyndicale a proposé trois nouvelles spécialités (création artistique, action culturelle et territoriale et industries culturelles et créatives) dont la dernière (industries culturelles et créatives) n’a pas été retenue par l’administration à ce stade, au prétexte d’un vivier d’emplois trop limité.
L’intersyndicale a demandé une expertise supplémentaire pour déterminer les besoins métiers (donc pas seulement emploi mais sur la question de l’expertise) dans la spécialité, à laquelle s’est engagée l’administration.
Les parties se sont entendues sur les épreuves (1 épreuve écrite sous la forme d’une note professionnelle, 2 épreuves orales : l’une sur le parcours, l’autre sur la spécialité) ;
- Le secrétaire général adjoint du ministère a annoncé qu’il ne disposait pas des moyens nécessaires pour engager une réforme globale du statut, en particulier sur les propositions de modifications de la grille indiciaire et la reprise de carrière. En revanche, il a accepté d’ouvrir des discussions sur ces points en 2026.
Ce qui a été refusé par l’administration :
- Rouvrir les discussions sur l’intégration du corps à l’encadrement supérieur de l’État et donc le caractère interministériel du corps.
RESTONS MOBILISÉ.E.S POUR FAIRE ENTENDRE LA VOIX DES ICCEAAC ET OBTENIR CE QUE NOUS REVENDIQUONS !
L’article Groupe de travail sur le corps des ICCEAAC du 14 mars 2025 : à peine au milieu du gué ! est apparu en premier sur la CGT Culture.
Dark Horse de Meytal Blanaru
Après le solo Rain, qui laissait déjà augurer des rapports intenses entre les blessures de l’intime et la confrontation au monde, Meytal Blanaru revient en solo avec Dark Horse pour décloisonner les stéréotypes physiques imposés par notre société. Portée comme une lutte positive, frontale et souveraine, sa chorégraphie objective le corps féminin dans un jeu de regards qu’elle installe avec les spectateur·rices.
Armée de résilience et surtout avec l’envie première d’aimer son apparence au carrefour de sa vie, quels qu’en soient les marques, les souffrances et les heurts, elle propose un spectacle de libération physique qui consacre, sans compromis, l’embrasement de soi.
Dark Horse
Création, interprétation Meytal Blanaru
Musique Benjamin Sauzereau
Dramaturgie Ido Batash, Olivier Hespel
Création lumière François Bodeux
Production, communication et diffusion Katherina VasiliadisProduction Fathom High Asbl
Coproduction Les Brigittines ; Charleroi danse, Centre chorégraphique de Wallonie-Bruxelles, PÔLE-SUD CDCN – Strasbourg, Compagnie Thor13 mai 2025
Instants chavirés • Montreuil
Rencontres chorégraphiques internationales du 93
L’article Dark Horse de Meytal Blanaru est apparu en premier sur Sceneweb.
-
Assemblée nationale
- Compte rendu de réunion n° 55 - Commission des affaires culturelles et de l'éducation
Compte rendu de réunion n° 55 - Commission des affaires culturelles et de l'éducation
Novo Fluxo de Renato Cruz
Novo Fluxo est le dernier volet d’une série de pièces commencée en 2015, qui aborde les enjeux sociaux et les défis de la vie contemporaine (Non Stop, Uninterrupted, Containment, Abrupt, Antiflow). Conçu comme un essai sur la confluence, le partage et la coexistence, cette nouvelle création interroge l’accélération continue subie par les individus. Comment ralentir ? lutter contre les pressions et les injonctions ? Comment se laisser traverser par d’autres énergies que celles incessantes de la nouveauté et de la performance ? En prenant appui sur les pensées alternatives d’Antonio Bispo et d’Aylton Krenak, Renato Cruz propose aux 7 interprètes d’expérimenter d’autres chemins.
Novo Fluxo
Direction générale, conception et chorégraphie: Renato Cruz
Directrice de production: Steffi Vigio
Directeur de répétition: Jefte Francisco
Artistes créatifs: Fabio de Andrade, Jefte Francisco, Josh Antonio, Maju Freitas, Rayan Sarmento, Tamara Catharino, Yuri Braga
Éclairage: Renato Machado et Diego Diener
Musique: Lucas Marcier et Gabriel Amorim
Costumes: Karlla de Luca
Graphiste: Isabela Schubert
Gestion des médias sociaux: Infusion Digital Marketing
Bureau de presse: Claudia BuenoProduction Companhia Híbrida
Créé dans le cadre du projet Novo Fluxo – Criação/Difusão, réalisé avec les ressources de l’Avis Public Pró-Carioca Linguagens – Programme de Promotion Culturelle de Rio de Janeiro
Intégré au Plan National PNAB – Aldir Blanc, promu par le Gouvernement Fédéral, à travers le Ministère de la Culture, en partenariat avec le Secrétariat Municipal de la Culture de Rio de Janeiro.13 mai 2025
Théâtre Public de Montreuil – CDN / Salle Maria Casarès • Montreuil
dans le cadre des Rencontres chorégraphiques internationales
L’article Novo Fluxo de Renato Cruz est apparu en premier sur Sceneweb.
DANÇA FRÁGIL de Renato Cruz
Comment tenir debout, danser encore, lorsque la violence s’inscrit jusque dans la peau ? Dans DANÇA FRÁGIL, le chorégraphe brésilien Renato Cruz déploie un ballet incandescent, où la virtuosité vacille autant qu’elle s’affirme. Cinq interprètes en tension permanente donnent forme à un monde traversé de luttes, de désirs et de contradictions.
Renato Cruz, fondateur de la Companhia Híbrida à Rio de Janeiro, fait dialoguer les esthétiques urbaines avec les écritures chorégraphiques contemporaines. Dans cette nouvelle création, il interroge les corps dans toute leur pluralité : ceux que l’on admire, fétichise, violente ou invisibilise. Noir·es, blanc·hes, LGBTQIA+, hétérosexuel·les : tous sont convoqués, révélés dans leur beauté et leur vulnérabilité face à une société marquée par le racisme, le sexisme et les inégalités sociales. À la fois manifeste politique et reflet d’un pays en tension, Dança Frágil est une pièce qui mêle l’énergie de la fête autant qu’elle en dévoile les revers. Sur une rythmique entêtante propre à la fougue brésilienne, elle capte le souffle d’un pays dans ses contradictions. Cinq interprètes issu·es du voguing, waacking, hip hop, passinho incarnent une danse vive et flamboyante, qui se fissure peu à peu pour mettre à nu les normes, l’exclusion, l’oppression. Entre colère et exaltation, DANÇA FRÁGIL célèbre la danse comme un acte de survie.
DANÇA FRÁGIL
Conception et direction générale Renato Cruz
Chorégraphie Aline Teixeira, Renato Cruz
Direction de production Steffi Vigio
Avec Jefte Francisco, Maju Freitas, Fábio de Andrade, Rayan Sarmento et Yuri Braga
Conception graphique Isabela Schubert
Lumière Renato Cruz et Gil Santos14 mai 2025
Carreau du Temple, Paris15 mai 2025
Espace 1789 • Saint-Ouen
Rencontres chorégraphiques internationales 93
L’article DANÇA FRÁGIL de Renato Cruz est apparu en premier sur Sceneweb.