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Reçu avant avant-hierTIC LL OS LINUX

Weekly recap — 4 May 2025

4 mai 2025 à 13:34

Week highlights: new releases of Kdenlive, Mixxx, and Giada; new features in GIMP and FreeCAD.

GIMP

CmykStudent implemented a simple palette exporter to KPL, Krita’s palette file format.

KPL exporting in GIMP

The other file format support they added is Over the Air Bitmap. Not sure how to comment on that. I guess if we all die in a nuclear holocaust, cockroaches will be exchanging those with each other on Nokia 3310, and they’ll need a way to open and export those? Well, that’s one way to future-proof GIMP then!

FreeCAD

Dave Carter finished adding initial support for external materials databases. The plan is to make it possible using external web services, for both downloading and uploading material definitions. The feature doesn’t seem to be built by default in weeklies yet, which is fine, as there are no external databases hooked up to the functionality yet.

In other news, the FPA’s general assembly approved spending earmarked EUR 5000 on grants towards various small fixes and improvements in TechDraw and PartDesign. The CAD Working Group will be distributing the bounties. Here is the full list of pre-approved issues to fix and features to implement.

Kdenlive 25.04

The new version comes with a major new feature: automatically creating masks to separate objects from their background. On the inside, the feature uses Meta’s Segment Anything Model 2.

Among other changes:

  • Faster and more precise audio thumbnails
  • Completely rewritten OpenTimelineIO import/exporting, should be more robust now
  • You can now change the duration of multiple selected clips (right-click on the selection, choose Edit Duration, keep “Apply duration to all items” checked)
  • Vertical zooming in audio tracks, with x1, x2, x4, and x8 presets
  • Shift+Click now expands/collapses all effects in the stack

See here for full release notes.

Mixxx 2.5.1

The new version of Mixxx brings controller mappings for DJ TechTools MIDI Fighter Spectra, Numark NS6II, Numark Platinum FX, M-Vave SMC-Mixer, Hercules DJControl Inpulse 500, and Reloop Digital Jockey 2 IE controllers. It also adds a mapping for the M-Vave SMK-25 II controller (see here for how its controls are mapped).

The Hercules DJControl Inpulse 300 controller now supports toneplay, slicer, and beatmatch. Other mappings got updates, too. The full list of changes is here.

Giada 1.2.0

Missed this release of Giada a couple of weeks ago. The new version of the loop station allows MIDI input from multiple devices and ships various small fixes. For the downloads and the full list of changes, please see here.

Disflux

This is a new, barely tested free (AGPL 3.0) plugin for smearing transients. Comes in LV2, VST3, and CLAP.

Disflux

Here is what the developer says:

Disflux is a wild audio effect plugin that takes your transients and smears them through time, adding serious punch and weight. If you’re creating Hard Techno or Rawstyle and need your kicks to hit like a freaking train, Disflux is your new best friend. We’re talking aggressive, distorted, gated kicks that smack like no tomorrow.

Here is my extremely quick demo:

Artworks

The Silence Atlas by IM_FreD, made with Blender and Photoshop:

The Silence Atlas by IM_FreD

Ancient Ruined Temple by RunBobFun, made with Blender:

Ancient Ruined Temple by RunBobFun

Temple of the Goldenbeard by Olga Rozova, made with Blender and Photoshop:

Temple of the Goldenbeard by Olga Rozova

The City of Others by Deltakosh, made with Blender and Photoshop:

The City of Others by Deltakosh

Stylized Fantasy Victorian Environment by Daniel Peres, made with Blender, Photoshop, and ProCreate:

Stylized Fantasy Victorian Environment by Daniel Peres

BleachBit 5.0 : de nouvelles fonctionnalités pour rendre votre PC comme neuf

6 mai 2025 à 22:47

bleachbit 5.jpeg

BleachBit 5.0 fait un pas en avant dans le domaine des outils de maintenance et de nettoyage des systèmes d’exploitation pour les distributions Linux, Windows et macOS. Grâce à sa nature open source, l’utilitaire reste l’un des choix préférés de ceux qui accordent la priorité au contrôle des données et à la protection de la […]Cet article est apparu en premier sur infoidevice.fr -> Suivez InfoiDevice sur Twitter et Facebook
Reçu hier — 7 mai 2025TIC LL OS LINUX

Mastodon, Bluesky : ils sont enfin disponibles avec le CMS Ghost

7 mai 2025 à 00:02

Un article signé GOODTECH.info

Jusqu’ici, si vous utilisiez le CMS Ghost pour gérer votre site, vos profils d’auteur ne pouvaient contenir que des liens vers Facebook ou X (anciennement Twitter). Un peu frustrant à l’heure du Fediverse et de la diversification des plateformes sociales… […]

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Chiffrement : une lettre ouverte contre ProtectEU

7 mai 2025 à 00:12

Un article signé GOODTECH.info

Une nouvelle initiative de la Commission européenne, baptisée ProtectEU, fait craindre à de nombreux experts une remise en cause de ce principe fondamental. Dans une lettre ouverte adressée à la Vice-Présidente exécutive Henna Virkkunen, plus de 80 organisations et personnalités […]

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MySQL 9.3.0 : toutes les nouveautés qui vous attendent

7 mai 2025 à 00:23

Un article signé GOODTECH.info

MySQL 9.3.0 est officiellement disponible. Troisième mise à jour majeure de la série 9.x, cette version introduit des améliorations significatives sur plusieurs fronts, allant de la sauvegarde logique des utilisateurs aux progrès en JavaScript, en passant par la réplication et […]

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Ubuntu Server déjà prêt pour le nouvel IBM LinuxONE 5

7 mai 2025 à 00:35

Un article signé GOODTECH.info

IBM vient d’annoncer la sortie de son dernier serveur : le LinuxONE Emperor 5, cinquième génération de cette plateforme pensée pour les environnements critiques sous Linux. Il pourra compter immédiatement sur Ubuntu Server, confirme Canonical.  Ce nouveau système ambitionne d’offrir […]

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Je ne sais ce qu'ils fabriquent

Par :Franck
7 mai 2025 à 06:13
Paysage en noir et blanc représentant une mer calme sous un ciel clair, avec un rivage rocheux au premier plan et un petit bateau près de l'eau. Des silhouettes de terres lointaines et d'un bâtiment sont visibles sur la gauche.
Sunset promenade in black and white, avr. 2025

Mais en ce moment, la connexion Internet, c’est pas la joie. Grosses coupures qui durent des heures alors bascule sur la connexion 5G.

L’optimiste en moi se dit qu’ils doivent être en train de faire des raccordements pour les connexions fibre à venir d’ici une année, hein ?

L'agriculture carbone : une tromperie qui gagne du terrain

7 mai 2025 à 09:30
Cambodge.
Photo Ethan Crowley CC BY-NC-SA

L'année 2024 a été particulièrement difficile pour le secteur des crédits carbone, chaque semaine apportant son lot de scandales [1]. Les enquêtes menées par la BBC sur des projets de crédits carbone gérés par des organisations étasuniennes de conservation ont révélé des cas de violences sexuelles au Kenya et des affirmations exagérées sur la réduction de la déforestation au Cambodge [2] Le Washington Post a dénoncé des développeurs de projets de crédits carbone au Brésil qui auraient accaparé illégalement plus de 20 millions d'hectares de terres publiques. De son côté, la chaîne allemande ZDF a mis en lumière ce qu'elle a qualifié de « l'un des plus grands cas de fraude de l'industrie pétrolière allemande », dans lequel des compagnies pétrolières auraient utilisé des projets carbone en Chine « n'existant que sur le papier » pour atteindre leurs objectifs en matière d'émissions [3].

Le scandale le plus embarrassant pour le secteur a probablement été l'inculpation de l'une de ses figures emblématiques, Ken Newcombe, ancien PDG de C-Quest Capital LLC, un développeur de projets de crédits carbone. Ce dernier a en effet été accusé de fraude par le bureau du procureur général des États-Unis pour avoir émis des millions de faux crédits carbone dans le cadre d'un projet de fourneaux au Malawi [4]. »

L'année 2025 pourrait s'avérer encore pire. Shell a essuyé de vives critiques pour avoir utilisé des « crédits fantômes » issus de projets rizicoles en Chine afin de qualifier son gaz naturel de « neutre en carbone ». Par ailleurs, un tribunal kenyan a jugé que les zones de conservation utilisées pour vendre des crédits carbone à Meta, Netflix et British Airways ne reposaient sur aucun fondement légal [5]. De plus, un développeur de crédits carbone, qui avait vendu des crédits à des stars d'Hollywood et à des milliardaires étasuniens sous le slogan « Clean rich is the new filthy rich » (« Les éco-riches sont les nouveaux ultra-riches »), fait actuellement l'objet d'une enquête menée par le ministère de la Justice et la Securities and Exchange Commission des États-Unis [6].

Malgré cette succession de scandales, l'intérêt des entreprises pour les crédits carbone reste intact. Dans certains milieux, il n'a fait que se renforcer. Alors que la plupart des scandales concernent des projets de compensation carbone fondés sur des « émissions évitées » (comme la protection des forêts tropicales), de nombreuses entreprises se tournent désormais vers des projets qui prétendent éliminer le carbone et le séquestrer dans les sols ou les arbres. En 2024, GRAIN a mis en lumière la façon dont cette évolution a provoqué une nouvelle ruée sur les terres pour des projets de plantation d'arbres et de cultures destinées à la production de crédits carbone [7]. Entre 2016 et 2024, plus de 9 millions d'hectares de terres ont été saisis pour ces projets, dont la grande majorité se situent dans le Sud global, et sont souvent associés à des scandales et à des préjudices pour les communautés locales [8].

Aujourd'hui, un autre type de projet de crédits carbone émerge : l'« agriculture carbone ». Ces projets prétendent séquestrer le carbone dans les sols en incitant les agriculteurs et agricultrices à mettre en œuvre des pratiques telles que la culture sans labour ou la rotation des cultures de couverture, techniques censées augmenter la teneur en carbone organique du sol. Bien que ces projets soient en développement depuis au moins dix ans, le marché des crédits liés à l'agriculture carbone a mis du temps à décoller [9]. À la fin de l'année 2022, seulement 0,02 % des 1,7 milliard de crédits émis sur les marchés volontaires du carbone provenaient de ce type de projet [10]. Toutefois, sous l'impulsion de puissantes entreprises de l'agrobusiness, la donne pourrait bientôt changer.

Un avenir incertain

Des dizaines d'entreprises recrutent actuellement des agriculteurs et agricultrices pour participer à ces programmes d'agriculture carbone. La plupart ciblent les grandes exploitations d'Amérique du Nord, d'Europe et du Brésil, mais certaines initiatives s'adressent aux petites structures. C'est le cas du programme mené par l'ONG néerlandaise Solidaridad, qui recrute de petits agriculteurs et agricultrices du Sud global produisant du coton, du cacao et d'autres cultures de base pour des entreprises [11]. (Voir tableau ci-dessous : Programmes d'agriculture carbone des entreprises)

La plupart des programmes d'agriculture carbone sont gérés par des sociétés agroalimentaires ou développés en partenariat étroit avec elles. Pour les géants des semences, des engrais et des pesticides, comme Yara ou Bayer, ces programmes sont un moyen d'attirer les agriculteurs et agricultrices sur leurs plateformes numériques, afin de les inciter à acheter davantage de leurs produits [12]. De leur côté, des entreprises agroalimentaires telles que Cargill, ADM et Mars voient dans l'agriculture carbone un moyen de réduire les émissions excessives de leurs chaînes d'approvisionnement, connues sous le nom d'émissions du « Scope 3 ». Ces programmes leur permettent de quantifier le carbone séquestré dans les sols par les agriculteurs et agricultrices et de le déduire de leurs émissions du Scope 3. Les entreprises appellent cela des « insets » (ou « compensations carbone intégrées ») pour les différencier des crédits carbone classiques, produits en dehors de leurs chaînes d'approvisionnement.

Les entreprises se lancent à corps perdu dans l'agriculture carbone, alors que les bases scientifiques de cette approche sont contestées [13]. L'idée repose sur une hypothèse simpliste : une tonne de carbone extraite de l'atmosphère et convertie en carbone organique du sol équivaudrait à une tonne de carbone émise par la combustion des énergies fossiles. Autrement dit, une tonne de carbone « séquestrée » compenserait une tonne d'émissions. Or, cette équivalence est fausse. Une tonne de combustibles fossiles laissée dans le sol est facilement quantifiable et permanente, tandis que le carbone séquestré dans les sols agricoles est difficile à mesurer avec précision et extrêmement instable, en particulier dans un contexte de chaos climatique.

Selon un article scientifique publié dans Nature en novembre 2024, pour « neutraliser » efficacement les émissions des combustibles fossiles, les projets de séquestration du carbone devraient stocker le carbone pendant au moins 1 000 ans [14]. Or, les programmes actuels d'agriculture carbone des entreprises n'exigent que des garanties que sur une durée maximale de 40 ans, et dans de nombreux cas, sur 10 ans ou moins [15].

Les scientifiques soulignent également que le sol a un taux de saturation en carbone. Il existe une limite à la quantité de carbone qui peut être ajoutée dans le sol, et la vitesse d'absorption diminue progressivement à mesure que la limite est atteinte. Autrement dit, si les « émissions nettes » d'une exploitation agricole (émissions moins absorptions) diminuent pendant la durée d'un projet d'agriculture carbone, elles remontent ensuite à mesure que l'exploitation se rapproche du taux de saturation. Or, les programmes d'agriculture carbone actuels ne prennent pas ce phénomène en compte. En réalité, une fois ces limites intégrées aux calculs, les scientifiques estiment que les absorptions liées à l'agriculture carbone ne pourraient compenser qu'à peine 1 % des émissions mondiales annuelles de gaz à effet de serre [16]. Un chiffre dérisoire face aux gigantesques émissions du système alimentaire, qui représente à lui seul plus d'un tiers des émissions mondiales annuelles [17].

Malgré cette polémique, les organismes de certification des crédits carbone ont largement adopté l'agriculture carbone et s'empressent d'élaborer des normes et des protocoles de certification. Les principaux acteurs du secteur, comme Gold Standard et Verra, ont déjà mis en place des normes dédiées à l'agriculture carbone ainsi que des protocoles internationaux pour la compensation carbone intégrée (insetting) au sein des chaînes d'approvisionnement [18].

S'attribuer tout le crédit

En janvier 2025, la société danoise Agreena a mis en place le premier « projet agricole à grande échelle » enregistré selon la nouvelle méthodologie de Verra dédiée à l'agriculture carbone. « Il s'agit d'un moment crucial pour le mouvement de l'agriculture régénérative et pour orienter vers les agriculteurs et agricultrices le financement carbone dont ils ont cruellement besoin », affirme Simon Haldrup, PDG d'Agreena [19].

Mais il est difficile d'affirmer que les « agriculteurs et agricultrices » qui travaillent avec l'entreprise de M. Haldrup ont réellement besoin d'un financement carbone. Agreena travaille principalement avec de grandes exploitations agricoles en Europe, et près de la moitié des terres agricoles certifiées dans le cadre de son projet appartiennent à des fonds souverains d'Arabie saoudite et des Émirats arabes unis [20].

Le puissant fonds souverain d'Arabie saoudite, le Fonds d'investissement public (PIF), qui détient également une grande partie de la compagnie pétrolière nationale Saudi Aramco, contrôle environ 200 000 hectares de terres agricoles en Ukraine via sa division agroalimentaire, SALIC. Celle-ci affirme avoir enregistré 156 000 hectares dans le projet d'agriculture carbone d'Agreena, certifié par Verra [21]. De son côté, le fonds souverain d'Abu Dhabi, ADQ, fortement impliqué dans le secteur pétrolier et gazier, a récemment acquis une exploitation de 55 000 hectares en Roumanie, qui serait la plus grande exploitation agricole d'Europe [22]. Cette exploitation fait également partie du projet d'agriculture carbone d'Agreena [23]/.

SALIC cherche également à obtenir des crédits carbone par le biais de l'élevage bovin au Brésil. Sa filiale Minerva, l'un des plus grands producteurs de viande au monde, tristement célèbre pour ses liens avec la déforestation et l'accaparement des terres en Amazonie, a récemment lancé MyCarbon, un programme d'agriculture carbone qui vise à produire des crédits carbone en augmentant la teneur en carbone des sols des pâturages dégradés [24]. Parmi ses partenaires figurent le géant norvégien des engrais Yara, qui incitera les agriculteurs et agricultrices participant·es à appliquer des engrais chimiques sur les pâturages (pratique encore peu répandue au Brésil), et la société étasunienne de pesticides Brandt, qui commercialisera sa nouvelle gamme de pesticides biologiques dans le cadre du programme [25].

Minerva, qui commercialise son bœuf exporté comme « neutre en carbone », a déjà commencé à vendre des crédits carbone issus de ses programmes sur le marché volontaire du carbone d'Arabie saoudite (également contrôlé par le PIF), ainsi que sur la nouvelle bourse carbone de Dubaï [26]. Jusqu'à présent, la plupart des crédits ont été achetés par Saudi Aramco [27].

Et ce n'est que la partie émergée de l'iceberg pour l'Arabie saoudite et le Brésil. Alors que Saudi Aramco achetait les crédits carbone de Minerva, les gouvernements brésilien et saoudien engageaient des négociations autour d'un projet de 120 milliards de dollars des États-Unis, connu sous le nom de PNCPD, visant à « récupérer et convertir » 40 millions d'hectares de pâturages et à doubler la production alimentaire du Brésil [28]. Ce programme d'agriculture carbone à grande échelle, dans lequel SALIC est le principal acteur du secteur privé, repose sur un financement mixte combinant crédits carbone, prêts et investissements étrangers. Cet accord permettra à l'Arabie saoudite d'obtenir plus de viande bovine et des compensations carbone pour ses compagnies pétrolières, tandis que le Brésil bénéficiera des fonds nécessaires pour augmenter sa production de viande bovine et d'autres produits agricoles destinés à l'exportation. Mais pour le climat, cette conversion massive des pâturages en plantations de soja et d'autres cultures est synonyme d'une nouvelle hausse des émissions et d'une déforestation accrue [29].

Minerva a déjà commencé à mettre son plan en œuvre. En partenariat avec Banco do Brasil et deux grandes entreprises spécialisées dans l'agriculture numérique, MyCarbon de Minerva déploie un programme PNCPD qui offre des prêts à faible taux d'intérêt aux éleveurs de bovins dans le but de « moderniser » leurs ranchs et de générer des crédits carbone [30].

Minerva célèbre l'exportation de cartons de bœuf étiquetés 'neutres en carbone' depuis son usine de transformation en Uruguay vers Israël, novembre 2023

Une tromperie qui gagne du terrain

Ce n'est pas en augmentant la production de bœuf, d'engrais et de pesticides que nous sortirons de la crise climatique, et encore moins en pratiquant le greenwashing pour d'autres combustibles fossiles et aliments transformés. L'agriculture carbone est présentée comme une solution pour réduire les émissions dans le système alimentaire, mais en réalité, elle est utilisée par Minerva et d'autres entreprises comme un substitut à cette réduction.

Cette réalité est particulièrement flagrante lorsque les crédits issus de l'agriculture carbone servent à compenser les émissions de combustibles fossiles d'entreprises telles que Saudi Aramco. Mais cela s'applique également aux programmes de compensations intégrées, largement adoptés par les entreprises agroalimentaires. Ces programmes permettent aux entreprises ayant des chaînes d'approvisionnement interconnectées de se regrouper, de mutualiser les coûts et de revendiquer ensemble des réductions d'émissions du Scope 3. Ceci explique la multiplication des collaborations en matière d'agriculture carbone entre les sociétés céréalières, comme ADM et Cargill, et les entreprises de transformation alimentaire, comme PepsiCo et Nestlé. Ces projets, souvent qualifiés d'« agriculture régénérative », ont pour objectif affiché non seulement de séquestrer le carbone, mais aussi de réduire les émissions et autres impacts environnementaux de l'agriculture industrielle (Voir Encadré : Du pareil au même ?)

Pourtant, dans la pratique, l'industrie reconnaît que ces programmes portent essentiellement sur des « absorptions » de carbone à court terme (c'est-à-dire la séquestration du carbone dans le sol) [31]. En effet, il suffit de quelques ajustements minimes, comme remplacer le labour par des pulvérisations de glyphosate (RoundUp) ou introduire des cultures de couverture en rotation, pour revendiquer une séquestration du carbone. En revanche, réduire durablement les émissions impliquerait de supprimer progressivement la majorité des intrants chimiques et de repenser entièrement la production agricole autour des marchés locaux, d'aliments nutritifs et d'une consommation modérée de viande et de produits laitiers. Une approche qu'aucune des grandes entreprises agroalimentaires n'est prête ni même en mesure d'envisager.

Il ne faut pas croire que les entreprises mettent en place des programmes d'agriculture carbone pour « orienter vers les agriculteurs et agricultrices le financement carbone dont ils ont tant besoin » (pour reprendre les termes du directeur général d'Agreena). Une étude sur les programmes d'agriculture carbone dans les États de l'Haryana et du Madhya Pradesh, en Inde, a révélé que ces programmes excluaient les agricultrices et les agriculteurs issus de castes marginalisées. Mais ces exclus ont peut-être eu de la chance. Parmi les plus grandes exploitations participant à ces programmes, 99 % n'ont reçu aucun avantage monétaire des crédits carbone, et beaucoup ont déclaré que leurs rendements avaient diminué. Il n'est pas surprenant que plus d'un quart des agriculteurs aient abandonné les programmes après la deuxième année [32].

Les conséquences de la crise climatique sur le système alimentaire mondial sont considérables. Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour réduire les émissions du système alimentaire et restaurer la fertilité des sols, tout en réorganisant la production et la distribution alimentaires pour faire face aux perturbations de plus en plus graves causées par le changement climatique. Il existe de nombreux exemples dans le monde entier d'initiatives allant dans ce sens [33]. Mais les programmes d'agriculture carbone que les entreprises tentent de présenter comme des solutions climatiques illustrent une nouvelle fois leur incapacité à relever ce défi et soulignent la nécessité urgente de réduire leur pouvoir dans le système alimentaire.

Du pareil au même ?

Les entreprises qui tentent d'utiliser les crédits carbone dans le cadre de leurs objectifs de réduction des émissions sont confrontées à une forte résistance. Même le principal organisme de normalisation des entreprises, l'initiative Science Based Targets (SBTi), refuse toujours d'autoriser les sociétés à utiliser les crédits carbone pour compenser leurs émissions, malgré les pressions considérables exercées par les lobbies des entreprises [34]. Comme le reconnaît la SBTi, cela tient au fait que les crédits carbone ne peuvent être considérés comme équivalant à des réductions d'émissions (pour toute une série de raisons scientifiques et pratiques) et qu'ils sont susceptibles d'être utilisés par les entreprises pour retarder ou éviter les réductions réelles [35]. Cela signifie qu'une entreprise comme Microsoft ne devrait pas pouvoir obtenir l'aval du SBTi pour son plan « net zéro » si celui-ci inclut l'achat de crédits carbone provenant de projets de plantation d'arbres au Kenya pour compenser les émissions de ses centres de données.

Curieusement, le SBTi fait une exception pour les crédits carbone produits dans la chaîne d'approvisionnement d'une entreprise du secteur agricole, à condition qu'ils soient utilisés uniquement pour compenser les émissions de cette chaîne d'approvisionnement (Scope 3) [36]. Ces compensations sont souvent appelées « insets », et sont principalement générées par des programmes d'agriculture carbone qui prétendent séquestrer le carbone dans le sol. Par exemple, Nestlé peut compenser les émissions générées par les exploitations agricoles produisant du blé pour ses biscuits en utilisant les « insets » générés par ces mêmes exploitations (et d'autres) dans le cadre de programmes d'agriculture carbone parrainés par l'entreprise. La SBTi affirme que ces compensations intégrées « ne doivent pas être confondues avec les ''offsets'' » (compensations « classiques »), car elles ne peuvent être utilisées par les sociétés agroalimentaires que pour atteindre leurs objectifs de réduction des émissions au sein de leurs propres chaînes d'approvisionnement.

Mais les « insets » issus de l'agriculture carbone de Nestlé posent les mêmes problèmes que les « offsets » générées par Microsoft dans le domaine de la plantation d'arbres. Ces deux types de compensations reposent sur une fausse équivalence entre les absorptions et les émissions, et tous deux sont clairement utilisés par les entreprises comme une alternative aux véritables réductions d'émissions. Quel que soit le nom qu'on lui donne – « insetting » ou « offsetting » – cela reste un mécanisme permettant aux entreprises de substituer des crédits carbone créés artificiellement à de véritables réductions d'émissions.

En effet, Nestlé et d'autres membres du lobby des « insets » militent désormais pour des normes spécifiques à ce secteur qui permettraient aux entreprises d'utiliser des crédits carbone provenant de l'extérieur de leur chaîne d'approvisionnement (comme la plantation d'arbres au Kenya) pour compenser jusqu'à la moitié des émissions liées à leur chaîne d'approvisionnement, lorsque les « insets » ne suffisent pas [37].

[1] Voir les excellentes archives de REDD-Monitor pour lire un compte-rendu complet : https://reddmonitor.substack.com

[2] « Big brands green claims uncovered », BBC Panorama, mai 2024 : https://www.bbc.co.uk/programmes/m001zd68.

[3] Terrence McCoy, « How ‘carbon cowboys' are cashing in on protected Amazon forest », Washington Post, juillet 2024 : https://www.washingtonpost.com/world/interactive/2024/brazil-amazon-carbon-credit-offsets/ ; « Betrugsverdacht bei Klimaschutzprojekten », ZDF, mai 2024 : https://www.zdf.de/nachrichten/wirtschaft/unternehmen/shell-rosneft-omv-betrug-verdacht-klimaschutz-100.html

[4] Patrick Greenfield, « Ex-carbon offsetting boss charged in New York with multimillion-dollar fraud », The Guardian, octobre 2024 : https://www.theguardian.com/environment/2024/oct/04/ex-carbon-offsetting-boss-kenneth-newcombe-charged-in-new-york-with-multimillion-dollar

[5] Beth Newhart, « Shell faces backlash after local farmers counter claims about controversial campaign : 'We really cannot trust the industry' », TCD, janvier 2025 : https://www.thecooldown.com/green-business/shell-lng-carbon-neutral-liquid-natural-gas-promotion/ ; « Kenya : Landmark court ruling delivers devastating blow to flagship carbon offset project », Survival International, janvier 2025 : https://survivalinternational.org/news/14121

[6] Chris Lang, « Aspiration is under investigation by the Commodity Futures Trading Commission about the quality of its carbon offsets », REDD-Monitor, janvier 2025 : https://reddmonitor.substack.com/p/aspiration-is-under-investigation

[7] Mouvement mondial pour les forêts tropicales, « Les plantations d'arbres pour le marché du carbone : plus d'injustice pour les communautés et leurs territoires », juin 2024 : https://www.wrm.org.uy/fr/bulletins/numero-270

[8] GRAIN, « Des accapareurs de terres aux cowboys du carbone : nouvelle ruée sur les terres communautaires », septembre 2024 :https://grain.org/fr/article/7191

[9] GRAIN, « De l'accaparement des terres à l'accaparement des sols : le nouveau business de l'agriculture carbone », février 2022 : https://grain.org/fr/article/6814

[11] Bien que cela ne soit pas mentionné sur leur site web (https://regenagri.org/), d'après le registre des sociétés du Royaume-Uni, regenagri est détenu à 100 % par Solidaridad. Il existe également de nombreux programmes controversés de crédit carbone ciblant les émissions de méthane des petites fermes rizicoles en Asie, qui se concentrent sur la réduction des émissions et non sur la séquestration du carbone. Voir GRAIN, « La riziculture à faibles émissions de carbone : un permis de polluer aux dépens de la petite agriculture », juillet 2023 :https://grain.org/fr/article/7011

[12] GRAIN, « De l'accaparement des terres à l'accaparement des sols : le nouveau business de l'agriculture carbone », février 2022 : https://grain.org/fr/article/6814

[13] FOE International, « Solutions fondées sur la nature : les risques des marchés carbone des sols », juillet 2023 : https://www.foei.org/wp-content/uploads/2023/07/ATI-SFN-fiche3.pdf

[14] Cyril Brunner et al. « Durability of carbon dioxide removal is critical for Paris climate goals », Communications Earth & Environment volume 5, Article numéro : 645, 2024 : https://www.nature.com/articles/s43247-024-01808-7?utm_source=substack&utm_medium=email

[15] Le registre de crédits carbone volontaires Verra exige une garantie de 40 ans : https://verra.org/program-notice/reminder-new-vcs-program-rules-and-requirements-related-to-afolu-non-permanence-risk-tool-effective-january-1-2024/. Pour une analyse plus détaillée, voir GRAIN, « De l'accaparement des terres à l'accaparement des sols : le nouveau business de l'agriculture carbone », février 2022 : https://grain.org/fr/article/6814

[16] Muhammad Junaid Nazir et al. Harnessing soil carbon sequestration to address climate change challenges in agriculture, Soil & Tillage Research 237, 2024 : https://doi.org/10.1016/j.still.2023.105959 ; https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0016706122001173?pes=vor&utm_source=wiley&getft_integrator=wiley ; https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/gcb.16570

[17] GRAIN, « Nouvelle affiche sur l'alimentation et la crise climatique », 2024, https://grain.org/fr/article/7131

[19] « Agreena achieves Verra registration landmark for soil carbon market, » Agreena, janvier 2025 : https://agreena.com/news/press-release-agreena-achieves-verra-registration-landmark-for-soil-carbon-market/

[20] Voir le document descriptif de projet sur le Registre de Verra : https://registry.verra.org/app/projectDetail/VCS/4022

[21] « Amid war, Ukrainian firm readies to sell first soil credits », QCI, juillet 2023 : https://www.farmlandgrab.org/post/31671-amid-war-ukrainian-firm-readies-to-sell-first-soil-credits

[22] Pour plus d'informations sur Al Dahra et l'implication d'ADQ dans l'agriculture, voir GRAIN, « Des terres à la logistique : le pouvoir croissant des Émirats arabes unis dans le système alimentaire mondial », juillet 2024 : https://grain.org/fr/article/7173

[23] « Al Dahra and Agreena announce carbon farming project on the EU's largest arable farm at COP28 », Agreena, décembre 2023 : https://agreena.com/news/al-dahra-partnership

[24] SALIC détient 32 % de Minerva. Pour plus de détails sur l'implication de Minerva dans la déforestation et l'accaparement de terres, voir Bruna Bronoski, « Segundo maior frigorífico brasileiro lucra na Bolsa com lavagem de gado, desmatamento ilegal e pressão sobre terra indígena », O Joio e o Trigo, janvier 2025 : https://ojoioeotrigo.com.br/2025/01/segundo-maior-frigorifico-brasileiro-lucra-na-bolsa-com-lavagem-de-gado-desmatamento-ilegal-e-pressao-sobre-terra-indigena/

[25] Alassandra Mello, « Yara fecha parceria com My Carbon, da Minerva », AgFeed, avril 2024 : https://agfeed.com.br/esg/yara-fecha-parceria-com-my-carbon-da-minerva-para-recuperar-areas-degradadas/# ; « BRANDT, MyCarbon launch ‘Revitalis' program to boost regenerative and sustainable agriculture in Brazil », AgriculturePost, juillet 2024 : https://agriculturepost.com/international/brazil/brandt-mycarbon-launch-revitalis-program-to-boost-regenerative-and-sustainable-agriculture-in-brazil/

[26] « Minerva Foods exported the first batch of carbon-neutral meat to US », euromeat, novembre 2024 : https://www.euromeatnews.com/Article-Minerva-Foods-exported-the-first-batch-of-carbon-neutral-meat-to-US/5873

[27] « Saudi Aramco Buys Carbon Credits At Largest-Ever Auction », OilPrice, janvier 2023 : https://oilprice.com/Latest-Energy-News/World-News/Saudi-Aramco-Buys-Carbon-Credits-At-Largest-Ever-Auction.html

[28] Programa Nacional de Conversão de Pastagens Degradadas em Sistemas de Produção Agropecuários e Florestais Sustentáveis (PNCPD). Voir ANBA, « Saudi Arabia to partner up with Brazil to rebuild pastures », juillet 2023 : https://anba.com.br/en/saudi-arabia-to-partner-up-with-brazil-to-rebuild-pastures/

[29] Pour en savoir plus, voir GRAIN, « Whipping up disaster : how Brazil became a lab for financial agro-investments », mai 2024 : https://grain.org/e/7138

[30] « Banco do Brasil partners with startups to modernize beef cattle farming, » Planeta Campo, janvier 2024 : https://planetacampo.canalrural.com.br/pecuaria/banco-do-brasil-parceria-moderniza-pecuaria/

[31] L'organisation mise en place par la filière, l'International Platform for Insetting, déclare elle-même que « la plupart des avantages climatiques de la compensation carbone intégrée sont des absorptions, c'est-à-dire du CO2 qui est séquestré dans la biomasse ou dans la matière organique du sol ». Voir en anglais sur : https://www.insettingplatform.com/wp-content/uploads/2022/03/IPI-Insetting-Guide.pdf

[32] Adeeth Cariappa et al., « Carbon farming in India : are the existing projects inclusive, additional, and permanent ? », Climate Policy, octobre 2024 : https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/14693062.2024.2416497#d1e422

[33] GRAIN, « Nouvelle affiche sur l'alimentation et la crise climatique », 2024, https://grain.org/fr/article/7131

[34] Chris Lang, « 'Various types of carbon credits are ineffective,' says the Science Based Targets initiative », REDD-Monitor, juillet 2024 : https://reddmonitor.substack.com/p/various-types-of-carbon-credits-are

[35] Déclaration conjointe, « Why carbon offsetting undermines climate targets », juillet 2024 : https://newclimate.org/sites/default/files/2024-07/Joint-CSO-Statement-Offsetting.pdf

[36] SBTi, « Carbon removals in Forest, Land and Agriculture (FLAG) Pathways », septembre 2022 : https://sciencebasedtargets.org/blog/carbon-removals-in-forest-land-and-agriculture-flag-pathways

[37] Selon la Norme du programme de compensations intégrées (Insetting Programme Standard) de la International Platform for Insetting : « Dans le cas où les projets de compensation carbone intégrée ne couvrent pas la totalité de l'atténuation de l'empreinte de GES de l'organisation, cette dernière a le droit d'acheter des crédits de compensation pour combler l'écart. Ces crédits doivent être certifiés selon une norme reconnue (VCS, Gold Standard, Plan Vivo, Solidarity Reforestation). La proportion de compensations intégrées par rapport aux compensations classiques (« insets vs. offsets ») doit représenter au minimum 50 % de l'empreinte carbone de l'organisation pour que celle-ci puisse déclarer qu'elle a réalisé une compensation intégrée de ses émissions. »https://www.insettingplatform.com/wp-content/uploads/2020/09/INSETTING_PROGRAM_STANDARD_IPS_V2.0_Final.pdf

Sortie de Tryton 7.6

Le 1er mai 2025 sortait la version 7.6 de Tryton, un progiciel de gestion intégré modulaire et multiplate-forme.

Tryton

Tryton est basé sur une architecture trois tiers avec PostgreSQL comme base de données principale et est écrit en Python ce qui apporte une grande flexibilité et rapidité pour la customisation.
Il vient avec un ensemble de modules essentiels pour la gestion d’une entreprise, qui sont très aboutis. Il peut être complété par des modules tierces spécifiques à certaines activités (comme la gestion d’hôpital avec GNU Health, la gestion de distillerie avec Distilibre) ou permettant l’intégration à d’autres outils.
Enfin, il est utilisable à travers un client natif, un client web réactif et un client en ligne de commande. Tous ces clients sont légers et multiplateformes (Linux, BSD, Windows et macOS).

Comme la dernière annonce ici date de la version 7.2, voici une liste non-exhaustive d’améliorations notables :

  • Tryton a remplacé son plan comptable minimal par le plan comptable universel qui est une bonne base pour l'IFRS ou US GAAP.
  • Un logo peut être ajouté à la société gérée par Tryton. Celui-ci sera alors rendu sur les documents commerciaux que Tryton génère (ex: bon de commande, facture, etc.)
  • Les remplacements de produit sont maintenant géré automatiquement. Quand un produit, marqué comme étant remplacé par un autre, n'est plus en stock, il est remplacé sur tous les mouvements de stock. C'est utile afin de s'assurer de vider son stock existant avant de passer au nouveau produit.
  • Les tâches planifiées, qui sont en train d'être exécutées, sont affichées. De plus, Tryton enregistre la durée d'exécution pendant un mois afin de pouvoir détecter des anomalies.
  • Il est maintenant possible de configurer le serveur pour utiliser une autre commande que LibreOffice pour convertir les documents vers un autre format comme PDF. Par exemple, on peut utiliser un service externe comme document-converter
  • L'ORM de Tryton gère les contraintes d'exclusion basées sur les Range SQL. Ceci a permis de remplacer des contraintes écrites en Python qui verrouillaient la table.
  • Il est désormais possible de redimensionner les colonnes des listes aussi avec le client web. Et la taille des colonnes est sauvegardé sur le serveur par taille d'écran afin de les restaurer pour l'utilisateur à la prochaine ouverture.
  • Un délai de validité des devis peut être configuré. Une fois passé le délai, il n'est plus possible de convertir le devis en vente et celui-ci sera annulé automatiquement. De même, une date d'expiration de devis d'achat peut être encodée pour faciliter le suivi.
  • Il est maintenant possible de résoudre une plainte par la création d'un coupon de promotion.
  • On peut à présent enregistrer une adresse en utilisant les champs structurés. Dans ce cas, le formatage de celle-ci sera faite automatiquement par Tryton suivant le format des 222 pays connus.
  • Des méthodes pour faciliter la personnalisation du comportement de l'ORM ont été ajoutées afin de simplifier et d'éviter de devoir étendre les méthodes create, write et delete (qui peuvent être un peu compliquées). De plus, des champs stockés dans la base de données peuvent être définis comme étant calculés. Ils sont alors automatiquement mis à jour si leur valeur change. Ils sont principalement utilisés pour faire de la cache.
  • Tryton supporte maintenant les traductions des formes de pluriels (jusqu'à 4 par langue).

Une dernière chose, l'ajout en mode bêta d'un outil de chat en direct entre utilisateurs sur certains documents. Par la suite, ce chat doit évoluer pour devenir un outil de communication plus large et inclure des externes via e-mail (mais aussi d'autres supports de communication).
Cette fonctionnalité est développée via un appel à sponsors
Dicussion sur une vente

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Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display

7 mai 2025 à 09:58
Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display

I have got my hands on this 10 inches touchscreen from SunFounder that is made for Raspberry Pi like devices.

If you are considering adding touch capability to your Raspberry Pi project, this could be a good contender for that.

I have used a few SunFounder products in the past but the Pironman case made me their fan. And I truly mean that. This is why before I opened the package, I had a feeling that this will be a solid device.

Let me share my experience with SunFounder's 10 inch DIY Touch Screen with you.

SunFounder Latest 10 Inch DIY Touch Screen All-In-One Solution for Raspberry Pi 5, IPS HD 1280x800 LCD, Built-In USB-C PD 5.1V/5A Output, HDMI, 10-point, No Driver, Speakers, for RPi 5/4/3/Zero 2W
This SunFounder Touch Screen is a 10-point IPS touch screen in a 10.1″ big size and with a high resolution of 1280x800, bringing you perfect visual experience. It works with various operating systems including Raspberry Pi OS, Ubuntu, Ubuntu Mate, Windows, Android, and Chrome OS.
Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch DisplaySunFounderSunFounder
Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display
📜
TL;DR

It is a well-thought device that gives a smooth touch experience. A single power cord runs both the screen and Pi. The on-board speakers give you more than just display although they are very basic.

All the interface remain available. The best thing is that it can be used with several other SBCs too.

From 3D printing to cyberdeck to home automation, how you use it is up to you.

The $149.99 price tag is decent for the quality of the touchscreen and the out of box experience it provides for the Raspberry Pi OS.

Technical specifications

Before we get into the nitty-gritty of performance, let's look at what you're actually getting with this display:

Specification Details
Screen Size 10 inches (diagonal)
Resolution 1280 x 800 pixels
Panel Type IPS (In-Plane Switching)
Touch Technology Capacitive multi-touch (up to 10 points)
Connection HDMI for display, USB for touch function
Compatible with Raspberry Pi 4B, 3B+, 3B, 2B, Zero W
Power Supply DC 12V/5A power supply with built-In USB-C PD
Audio 2 speakers
Dimensions 236mm x 167mm x 20mm
Viewing Angle 178° (horizontal and vertical)
Weight Approximately 350g

Assembling

SunFounder has a thing for assembling. Like most of their other products, the touchscreen also needs some assembling. After all, it is properly called 'a 10 -inch DIY touchscreen' so there is obviously a DIY angle here.

The assembling should not take you more than 10–15 minutes to put all the pieces together.

Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display

The assembly basically requires attaching the single board computer with the screws, taping the speakers and connecting it to the touchscreen cable.

It's actually fun to do the assembly. Not everyone will be a fan of this but I am guessing if you are into maker's electronics, you won't be unhappy with the assembly requirement.

Experiencing SunFounder DIY Touchscreen

The device is powered by a 12V/5A DC power that also powers the Raspberry Pi with 5.1V/5A. There are LED lights at the back that indicate if the Pi is turned on or not.

There is no on-board battery, in case you were wondering about that. It needs to be connected to the power supply all the time to function. Although, if you need, you can always attach a battery-powered system to it.

The display is IPS and the surface feels quite premium. Some people may find it a bit glossy and slippery but the IPS screens have the same look and feel in my experience.

Colors are vibrant, text is crisp, and the IPS panel means viewing angles are excellent.

Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display

The 10 point capacitive touch works out of the box. The touch response is quite good. I noticed that the double-click mouse action actually needs 3 quick taps. It took me some time to understand that it is the intended behavior.

My 4-years old daughter used it for playing a few games on GCompris and that worked very well. Actually, she sees the Raspberry Pi wallpaper and thinks it's her computer. I had to take the device off her hands as I didn't want her to use it as a tablet. I would prefer that she keeps on using a keyboard and mouse with her Pi.

On-screen keyboard

SunFounder claims that no drivers are required and the touchscreen is ready to be plugged in and play if you use Raspbian OS.

While I didn't have to install any drivers, and the touchscreen worked fine, I had to install squeekboard package to activate the on-screen keyboard on my Raspberry Pi 5 with Raspbian OS.

The official SunFounder document mentions that this package should be preinstalled in Raspbian OS but that was not the case for me. Not a major issue as the on-screen keyboard worked fine too after installing the missing package.

Using On-screen Keyboard in Raspberry Pi OS
Here’s what you can do to use a virtual keyboard on Raspberry Pi OS.
Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch DisplayIt's FOSSAbhishek Prakash
Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display

Speakers

Before I forget, I should mention that the touchscreen also has two tiny speakers at the bottom. They are good enough for occasional cases where you need audio output. You won't need to plugin a headphone or external speakers in such cases.

But if you want anything more than that, you'll need to attach proper speakers. It really depends on what you need it for.

Dude, where is my stand?

It would have been nice to have some sort of stand with the screen. That would make it easier to use the touchscreen as a monitor on the table.

At first glance, it seems like it is more suitable as a wall mount to display your homelab dashboard or some other information.

But it's not completely impossible to use it without a dedicated stand on the desk. I used the extra M 2.5 screws to increase the length of the bottom two screws. That gave it a stand like appearance.

Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display
Little tweak to make a stand with extra screws

I thought I was smart to utilize those extra screws as a stand. Later I found out that it was intended for that purpose, as the official document also mentioned this trick.

I remember the older model of this touch screen used to have a dedicated stand.

Tap into Potential: Add Premium Touch to Your Raspberry Pi Projects With SunFounder's 10-inch Display
Older model of SunFounder's Touchscreen had a dedicated stand

I still think that dedicated stand attachments would have been a better idea.

By the way, if you want and have the resources, you can 3D print a custom case for the touchscreen. SunFounder provides the 3D Printer File and all necessary steps on its documentation website.

What can you use it for?

The imagination is your limit. There are no dearths of touch-focused Raspberry Pi projects.

Here are a few usages I can think of:

  • Cyberdeck setup
  • Smart home dashboard
  • Retro gaming setup
  • Use in 3d printers
  • Robotics control interface
  • In-car entertainment system (I mean, why not, if you have an ancient car and want to do some tinkering)
  • Mini kiosk for small businesses
  • Homelab dashboard display
  • Weather station and agenda display
  • Digital photo frame

Should you get it?

The answer always depends on what you need and what you want.

If you are on the lookout for a new touchscreen for your homelab or DIY projects, this is definitely worth a look.

Sure, the price tag is more than the official Raspberry Pi touchscreen but SunFounder's touchscreen has better quality (IPS), is bigger with better resolution, has speakers and supports more SBCs.

Basically, it is a premium device, whereas most touchscreen available on lower prices have a very toy-ish feel.

If affordability is not a concern and you need excellent touch experience for your projects, I can surely recommend this product.

Clonezilla Live 3.2.1-28 Is Out Based on Ubuntu 25.04 and Linux Kernel 6.14

6 mai 2025 à 17:25

Clonezilla Live 3.2.1-28 disk imaging/cloning distribution is now available for download based on Ubuntu 25.04 and Linux kernel 6.14. Here's what's new!

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KDE Plasma 6.3.5 Improves Support for Multi-Screen Setups, NVIDIA GPU Users

6 mai 2025 à 20:47

KDE Plasma 6.3.5 is now available for download with as the last point release to the latest KDE Plasma 6.3 desktop environment series.

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Ubuntu 25.10 (Questing Quokka) Daily Build ISOs Are Now Available for Download

7 mai 2025 à 10:58

Ubuntu 25.10 (Questing Quokka) daily build ISO images are now available for download for early adopters and application developers who want to test drive their apps against the new toolchain.

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EuroStack : Le CNLL salue des propositions concrètes pour une souveraineté numérique européenne fondée sur l'Open Source et l'interopérabilité

7 mai 2025 à 11:27

Paris, le 7 mai 2025 – Le Conseil National du Logiciel Libre (CNLL) salue la publication du livre blanc "Deploying the EuroStack: What Needs to Happen Now" par l'Initiative EuroStack. Ce document, qui fait suite à la lettre ouverte de mars dernier cosignée par le CNLL et plus de 200 dirigeants du secteur, détaille des mesures actionnables pour bâtir une Europe numériquement souveraine. Le CNLL y voit une feuille de route pragmatique, alignée avec sa mission de défense et de promotion du logiciel libre, des standards ouverts et de l'interopérabilité opposable.

Face à une dépendance technologique massive envers les acteurs non-européens, chiffrée à 264 milliards d'euros de flux annuels vers les États-Unis pour le cloud et les logiciels (étude Cigref/Asterès), le livre blanc d'EuroStack propose des solutions concrètes pour inverser la tendance. Le CNLL soutient particulièrement l'accent mis sur la nécessité de réformer la commande publique ("Acheter Européen") pour qu'elle favorise réellement les solutions européennes, notamment celles issues de l'écosystème open source, et de définir clairement ce qu'est un fournisseur "européen" en se fondant sur des critères objectifs de contrôle et de contribution à l'écosystème.

La proposition "Vendre Européen" insiste sur l'accroissement de la visibilité et de l'interopérabilité des solutions européennes, notamment via la promotion active de l'open source et des standards ouverts. Pour le CNLL, ces éléments sont cruciaux : le logiciel libre, par sa nature transparente, collaborative et modulaire, est un levier stratégique pour éviter le verrouillage propriétaire, garantir la réversibilité et permettre à un écosystème diversifié de PME et ETI européennes de prospérer. La création d'un "Hub d'Intelligence de Marché" et le soutien à la collaboration au sein de l'écosystème sont des mesures que le CNLL appelle de ses vœux.

Concernant le volet "Financer Européen", le CNLL apprécie l'approche ciblée, visant à mobiliser les capitaux existants et à créer des incitations, plutôt qu'un nouveau schéma de dépenses centralisé. L'idée d'un "Fonds EuroStack" pour combler des lacunes spécifiques, notamment en soutenant les PME de la filière open source et la migration vers des solutions ouvertes, est une piste pertinente.

"Ce livre blanc d'EuroStack concrétise l'appel que nous avions lancé en mars. Il est temps de passer des constats aux actes pour construire une véritable souveraineté numérique européenne," déclare Stefane Fermigier, co-Président du CNLL et co-auteur du livre blanc. "Le CNLL se félicite que les principes de l'open source, de l'interopérabilité et des standards ouverts soient reconnus comme des piliers essentiels de cette stratégie. Notre filière européenne du Logiciel Libre est prête à relever le défi, à condition que les politiques publiques lui donnent enfin les moyens de concurrencer équitablement les solutions propriétaires dominantes. Ce document fournit des pistes claires pour y parvenir."

Le CNLL continuera de porter ces propositions auprès des décideurs et de l'ensemble de l'écosystème, convaincu que l'avenir numérique de l'Europe se construira sur les fondations solides de la liberté, de l'ouverture et de la collaboration.

Références :

À propos du CNLL :

Le CNLL, Union des Entreprises du Logiciel Libre et du Numérique Ouvert, est l’instance représentative de la filière du logiciel libre en France. Issu du groupement de 12 clusters régionaux, il représente plus de 300 entreprises “pure players” (spécialisées ou avec une activité significative dans le logiciel libre et l’open source): éditeurs, intégrateurs, sociétés de conseil, etc. Il assure la promotion de l´écosystème professionnel du logiciel libre, de son offre de logiciels et de services, de ses atouts spécifiques, et de ses besoins, notamment en termes d’emploi et de formation. Il permet à la communauté des acteurs de la filière d’échanger et de travailler ensemble au développement du marché, dans le respect de valeurs communes.

Enable or Disable Word Wrap in VS Code

7 mai 2025 à 13:06
Enable or Disable Word Wrap in VS Code

Word wrap automatically breaks a long line of text so it fits within your current editor window, without you needing to scroll horizontally. It doesn’t add line breaks to your file; it just wraps it visually.

Picture this: You’re writing a long JavaScript function or a long SQL query. Without word wrap, you’d be endlessly dragging that horizontal scrollbar. With it, everything folds neatly within view.

This is especially useful when:

  • You're working on a small screen.
  • You want cleaner screenshots of your code.
  • You prefer not to lose track of long lines.

Now, let's see how to turn it on or off when needed.

Method 1: The quickest toggle - Alt + Z

Yep, there’s a shortcut for it!

  1. Open any file in VS Code.
  2. Press Alt + Z on your keyboard.
Enable or Disable Word Wrap in VS Code

And that’s it! Word wrap is toggled. Hit it again to switch it off.

Method 2: Use the command palette

Prefer something a bit more visual? The Command Palette is your go-to.

  1. Press Ctrl + Shift + P (or Cmd + Shift + P on macOS).
  2. Type Toggle Word Wrap.
  3. Click the option when it appears.
Enable or Disable Word Wrap in VS Code

This is ideal if you’re not sure of the shortcut or just want to double-check before toggling.

Method 3: Set a default from settings

Want word wrap always on (or always off) when you open VS Code? You can change the default behavior.

1. Go to File > Preferences > Settings

Enable or Disable Word Wrap in VS Code

2. Search for “word wrap.”

3. Under Editor: Word Wrap, choose from the following options:

    • off: Never wrap.
    • on: Always wrap.
    • wordWrapColumn: Wrap at a specific column number.
    • bounded: Wrap at viewport or column, whichever is smaller.
    Enable or Disable Word Wrap in VS Code
    💡
    What’s “wordWrapColumn” anyway?
    It lets you define a column (like 20) at which VS Code should wrap lines. Great for keeping things tidy in teams with coding standards.

    You can also tweak "editor.wordWrap" in settings.json if you prefer working directly with config files.

    Wrapping up!

    Word wrap might seem like a tiny detail, but it’s one of those “small things” that can make coding a lot more pleasant. Take the indentation settings for example, another crucial piece for code readability and collaboration. Yes, the tabs vs spaces debate lives on 😄

    We’ll continue exploring more quick yet powerful tips to help you make the most of VS Code.

    Until then, go ahead and wrap those words your way.

    LFS - Linux From Scratch - Episode 5 (Construction derniers outils et construction LFS)

    7 mai 2025 à 13:48

    💾

    Diffusion et interaction sur https://www.twitch.tv/adrienlinuxtricks
    Live consacré à Linux From Scratch
    --------
    Liens : https://www.fr.linuxfromscratch.org

    III. Construction des outils croisés LFS et des outils temporaires
    7. Entrée dans le chroot et construction des outils temporaires supplémentaires
    Introduction
    Changement du propriétaire
    Préparer les systèmes de fichiers virtuels du noyau
    Entrer dans l'environnement chroot
    Création des répertoires
    Création des fichiers et des liens symboliques essentiels
    Gettext-0.24
    Bison-3.8.2
    Perl-5.40.1
    Python-3.13.2
    Texinfo-7.2
    Util-linux-2.40.4
    Nettoyage et Sauvegarde du système temporaire

    ---------
    Infos utiles comme d'hab :
    Quelle distribution j'utilise ?
    Fedora Linux avec GNOME
    Quel est mon navigateur Internet : Vivaldi
    Où me retrouver ? Tout est dans le bandeau de la page d'accueil de la chaine
    Mon site web : https://www.linuxtricks.fr

    Ma config PC Fixe :
    Carte mère X470 GAMING PRO
    AMD Ryzen 5 2600X
    16Gb RAM DDR4
    AMD Radeon RX 560 (pilote libre amdgpu)
    SSD 860 EVO 500GB + SSD 860 QVO 2To
    Micro BIRD UM1
    Reçu aujourd’hui — 8 mai 2025TIC LL OS LINUX

    IA et énergie : une fuite en avant insoutenable ?

    8 mai 2025 à 00:01

    Un article signé GOODTECH.info

    Les modèles d’IA les plus récents reposent sur des datacenters massifs, dont la consommation électrique explose.  En 2022, ces infrastructures représentaient déjà 1 % de la demande mondiale d’électricité. À horizon 2026, cette part pourrait atteindre 4 %, dans un […]

    L’article IA et énergie : une fuite en avant insoutenable ? est apparu en premier sur Goodtech.

    Qui héberge les mails ? Un outil simple pour le savoir

    8 mai 2025 à 00:50

    Un article signé GOODTECH.info

    La souveraineté numérique est un enjeu dans les cercles professionnels et pour les politiques publiques. L‘entreprise française ézéo lance Qui héberge les mails ?, un nouvel outil gratuit permettant de connaître l’hébergeur du courrier électronique d’un nom de domaine. Intrusif, […]

    L’article Qui héberge les mails ? Un outil simple pour le savoir est apparu en premier sur Goodtech.

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