Un incroyable succès. Le dernier concert donné par le choeur d’enfants ukrainiens Oreli a attiré la foule ce mardi soir à la salle des fêtes de Ploërmel. A tel point que les organisateurs ont du refuser l’entrée à quelques dizaines de spectateurs, la salle ayant atteint sa jauge maximale. cttee soirée était exceptionnelle puisqu’elle associait trois formations d’enfants : le choeur oreli, l’orchestre du collège Beaumanoir et l’indirizzo musicale de la scuola media Leonardo da Vinci de Cecina en Toscane, une formation italienne présente à Ploërmel dans le cadre d’un échange linguistique avec le collège. Une soiréee une fois encore chargée d’émotion et un peu folle sur laquelle nous reviendrons ce mercredi.
En attendant nous vous proposons les premières images de la prestation du choeur Oreli qui ouvrait la soirée et qui a été salué par une standing ovation d’un public conquis.
Il y a 80 ans, le 8 mai 1945, la capitulation de l’Allemagne nazie marque la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Cette date historique, célébrée comme le Jour de la Victoire, met un terme à six années de guerre et de souffrances. Elle sera célébrée demain jeudi dans toutes les communes de France. Voici quelques rendez-vous mémoriels près de chez vous.
Le Maire de Malestroit et le Conseil Municipal invitent toutes les personnes qui le souhaitent à se joindre à la cérémonie de commémoration, ce mercredi 8 mai. Le rendez-vous est donné à 10h45 devant la mairie temporaire.
Cérémonie commune du souvenir des victimes et des héros de la déportation et de la victoire du 8 mai 1945, le jeudi 8 mai à 11h, place d’Armes.
A l’occasion de la cérémonie du 8 mai les stèles seront fleuries avec dépôt de gerbes et bouquets à partir de 9h15 par Elisabeth Derval, adjointe au maire, le chef de la police municipale et une élève de la classe défense du collège sacré-coeur.
Cérémonie à partir de 11h00 Place d’Armes (présence d’élèves de la classé défense du collège sacré-coeur),
à l’issue de la cérémonie officielle remise de la médaille de la ville à Marcel Bergamasco à l’occasion de ses 100 ans.
A l’issue de la cérémonie, un vin d’honneur sera servi à la salle des Fêtes.
Cérémonies du 80e anniversaire de l’Armistice 1945 avec dépôt de gerbe à 10h30 au Monument aux Morts de Quelneuc, messe en l’église Saint-Marcoul de Carentoir à 11h et cérémonie patriotique à 12h au Monuments aux Morts du centre-ville.
Quelle ambiance! On vous a déjà dit que l’ultime soirée de concert du choeur d’enfants ukrainiens Oreli a été un énorme succès, avec des centaines de spectateurs. Ces derniers ont réservé une « standing ovation » aux choristes ukrainiens qui assuraient la première partie de la soirée. Pour la 2è partie, ces derniers ont partagé la scène avec les orchestres du collège Beaumanoir et de leurs correspondants italiens.
Mais c’est lors de la partie finale que l’émotion est montée d’un cran avec une succession de gestes hautement symboliques. Emeline Tostivint a tout d’abord annoncé une « surprise » réservée par les professeur(e)s italiens et français au choeur Oreli qui ont interprété l’hymne ukrainien. Puis les enfants des trois nations ont présenté une série de textes sur une création musicale du professeur de musique du collège Beaumanoir à partir de l’hymne européen. Le choeur Oreli a interprété une chanson d’un village qui est occupé par la Russie. « Nous voulons dire par cette chanson qu’il est possible d’occuper un village mais qu’il est impossible d’occuper les chansons et l’âme… », a expliqué la traductrice du choeur Oreli.
« Normalement, à la fin d’un concert, on offre des fleurs, mais comme le voyage est très long jusqu’à Kyiv, on s’est dit qu’on allait plutôt offrir des graines… », explique Emeline Tostivint. Et derrière ce cadeau, il y a une histoire terrible qui rappelle la cruelle réalité que vit le peuple ukrainien. Myroslav, a en effet raconté que ces graines seront plantées dans un jardin crée en hommage à un jeune homme de 21 ans ancien membre du choeur qui a été tué lors de la guerre. C’est le « jardin de l’avenir », le « jardin de l’amour » dans lequel s’épanouiront les fleurs ramenées de Ploërmel…
L’heure était donc venue de mettre un terme à cette soirée concert exceptionnelle. Mais c’était sans compter sur l’enthousiasme irrésistible du groupe ukrainien. Les musiciens se sont installés sur scène. Il a fallu rallumer les micros et ls danseur(se)s s sont mêlé(e)s à la foule qui commençait à quitter la salle pour les entrainer dans des farandoles pleines de fraicheur.
Il était très tard lorsque le groupe Oreli est remonté dans son bus pour rejoindre Kyiv, laissant derrière lui beaucoup de tendresse et sans doute une prise de conscience que l’Ukraine ce n’est finalement pas si loin et que les drames qui se nouent là-bas nous concernent tous. L’espoir aussi que les enfants d’Oreli reviennent dans le Pays de Ploërmel et que les canons se taisent enfin… Et puis ce séjour a démontré que les cultures ukrainiennes et bretonnes ont quelque chose en commun : l’amour d’un peuple pour son pays, son identité.
Dans le cadre du programme Erasmus +, un groupe d’élèves de 5è de l’enseignement général et de SEGPA, accompagné de 3 adultes, peut découvrir durant cette semaine la ville de Kiruna en Laponie Suédoise. Pour beaucoup d’entre eux, c’était la première fois qu’ils prenaient un avion (Paris-Stockholm-Kiruna), et la première fois également qu’ils se rendaient à l’étranger.
Entre paysages enneigés et découvertes culturelles, le voyage est riche en émotions. Ils ont été aussi accueillis dans une école locale pour une immersion linguistique autour des contes en anglais. Moment forts : la confection et dégustation de crêpes bretonnes avec leurs camarades suédois, la présentation de diaporamas sur la ville de Josselin et l’apprentissage de danses bretonnes. Ils ont pu partager des jeux dans la cour, suivre un cours de cuisine en extérieur, des cours d’EPS, de maths et d’arts. L’occasion de communiquer en anglais et de découvrir le fonctionnement du système scolaire suédois. Sur place, les élèves profitent de la neige (luge, randonnée, bonhommes de neige…), après les heures de cours.
Ce mercredi, ils visiterent le célèbre Ice hotel (hôtel de glace) et le musée Sami, consacré au peuple autochtone de Laponie. La 2è partie des 5è profitera du même séjour à la fin du mois.
Cette semaine coïncide avec la journée de l’Europe, le 10 mai prochain : une occasion pour les enseignants, dont Mme Andrieu, enseignante d’anglais, Mme Bourdais la Proviseure et les familles, de remercier les interlocuteurs d’Erasmus+ ayant oeuvré aux séjours pour les élèves du Collège Max Jacob.
Depuis 2013, Dominique et Jean-Pierre Bacot accueillent les chats et chiens abandonnés ou maltraités, une passion pour Dominique qui à l’approche de la retraite a bifurqué vers le monde animalier en créant un élevage de chien. Elle l’a revendu à sa fille, pour qu’avec Jean-Pierre son mari, elle profite de la vie. Direction la Baule, ses plages, la tranquillité… Mais lorsque depuis l’enfance la compagnie des animaux domestiques est débordante, on peut se laisser submerger par les animaux en quête d’une vie meilleure. Très vite, la demeure du couple devient trop petite. Dominique se met donc en quête d’un lieu pour les recueillir, entrainant son mari dans de multiples visites de fermes ou bâtisses pouvant être adaptées et devenir Le Radeau des animaux. « Bien que l’abandon ou l’errance d’animaux soit un problème pour les municipalités, nous n’avions aucune proposition de locaux venant que ce soit des mairie ou collectivités… ».
C’est à quelques kilomètre de la Roche Bernard, à Férel, que le couple trouve enfin son bonheur, un coup de cœur pour Dominique qui dès la première visite d’une ancienne ferme « encore dans son jus » comme elle le souligne, se projette déjà dans les futurs aménagements pour créer un véritable havre de paix. Un investissement avec leurs propres économies, car, au grand dam du couple, les subventions « il faut pas compter dessus ». Sauf une rare exception car ils ont réussi à en décrocher une, pour la rénovation partielle du gite pour chiens et chats. Pourtant d’utilité publique, l’association de protection des animaux loi 1901 « Le Radeau des animaux » ne subvient à ses frais que par le biais de dons et différents frais d’adoptions pour perdurer. « Lorsque nous recueillons un animal en souffrance nous le faisons systématiquement soigner, identifier et stériliser. Tout cela à un coup qui ne fait qu’augmenter, « il faut compter environ 1000 euros, voir plus selon les soins nécessaires ». L’association le Radeau des animaux à Férel, accueil pour chiens et chats abandonnés ou maltraités, intervient principalement sur le secteur du Morbihan et de la Loire-Atlantique. Elle compte une cinquantaine de bénévoles très actifs qui se relaient par équipes, pour assurer les soins aux animaux, l’entretien et la rénovation des locaux, leur rééducation… L’association assure un suivi de ses pensionnaires pour les faire adopter. « L’équipe veille à ce que les adoptants comprennent bien que prendre un animal domestique, ce n’est pas une simple envie. Nous vérifions l’habitat, son potentiel et aussi la présence des futurs maitres, si l’on mène une vie active avec des absences de 7 heures nous conseillons plutôt un chat qui acceptera mieux la solitude qu’un chien.
Lutter contre les abandons d’animaux
L’abandon, maintenant, c’est toute l’année. « Quand c’est petit un chiot c’est mignon mais ça grandi et les besoins aussi. Les gens ont du mal à comprendre pas que les chiens doivent être adaptés à leur mode de vie… Lundi le couple est venu à Josselin pour recevoir un don de 1000 euros octroyé par l’entreprise Esthima, les pompes funèbres animalière et crématorium pour animaux de compagnie de Josselin. Une entreprise qui accompagne les gens lors de la perte de leur animal de compagnie en leur proposant un service comparable a celui porté aux humains. L’investissement et le soin apporté aux animaux a fortement retenu l’attention de Romain Quirin, le directeur du centre de Josselin qui fait ce don pour la seconde année.
Plus qu’un réseau de pompes funèbres animalières, Esthima est une entreprise engagée qui place le bien-être des animaux et de leurs propriétaires au cœur de ses préoccupations. Dans ce cadre, Esthima, avec le soutien d’IVC Evidensia, a lancé en mars dernier, « Coup de patte », une cagnotte solidaire et engagée. Le Radeau des animaux est l’une des 12 associations basées dans toute la France qui ont bénéficie de ce soutien financier. Contact : si vous souhaitez adopter un animal ou signaler un animal maltraité ou faire un don, contactez Le Radeau des animaux au 06 21 10 14 39 ou par mail radeaudesanimaux@orange.fr
Plusieurs centaines de personnes ont participé au rassemblement organisé par la municipalité de Questembert à la demande de plusieurs citoyens contre la violence et en soutien ds victimes de l’agression commise pendant le week-end du 1er mai. Un homme a tiré à deux reprises dans la vitrine du bar Le bistrot des Halles, blessant la gérante de l’établissement, comme l’a relaté Boris Lemaire, maire de Questembert mardi matin (lire en cliquant ici).
Le conseil des ministres qui s’est réuni ce mercredi a officialisé la nomination de Michael Galy au poste de préfet du Morbihan, en remplacement de Pascal Bolot, nommé en Moselle. Michel Galy est directeur d’hôpital de classe exceptionnelle. Il était depuis octobre 2024 directeur de cabinet du ministre de la santé et de l’accès aux soins, poste occupé depuis janvier 2025 par Yannick Neuder.
Auparavant de août 2023 à octobre 2024 il a exercé les fonctions de préfet de la Nièvre après avoir occupé plusieurs postes de directeur d’hôpitaux (Strasbourg, Saint-Etienne, centre hospitalier de Poissy/Saint Germain en Laye et Mantes-la-Jolie (Yvelines).
Ancien élève de l’École nationale de santé publique (ENSP, devenu depuis École des hautes études en santé publique, EHESP, promo directeur d’hôpital 2001), Michaël Galy travaille au Centre hospitalier de Longjumeau (Essonne) de 2001 à 2007. Il dirige ensuite le Centre hospitalier de Nemours (Seine-et-Marne) de 2008 à 2009, avant de devenir directeur général adjoint du CHU de Reims (Marne) de 2009 à 2013. Il revient en région parisienne de 2013 à 2017 en dirigeant le Centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye et le Centre hospitalier de Mantes-la-Jolie dans les Yvelines.
En septembre 2017, il devient directeur général du centre hospitalier universitaire (CHU) de Saint-Étienne (Loire). Directeur d’hôpital de classe exceptionnelle en 2018, il est nommé directeur général des Hôpitaux universitaires de Strasbourg (HUS) en 2020. Depuis 2014, il est par ailleurs président du Réseau des acheteurs hospitaliers (Resah).
Après une première édition festive et réussie -elle avait réuni plus de 270 participants- l’AS La Claie organise cette année encore une color race. Cette deuxième édition se déroulera le 25 mai prochain au stade de foot de Saint-Marcel. Cette année encore les participants pourront courir ou marcher sur des parcours de 4 ou 8 kilomètres, tout en étant vraiment entouré et baigné de couleurs. En effet avant la course, de la poudre de couleurs est lancé sur les participants, avec de magnifiques images à la clé. Les bénévoles jetteront aussi de la poudre colorée tout au long du parcours. Les participants seront équipés de lunettes et de sachets de poudre. Le rendez-vous est à 9h au stade de foot de Saint-Marcel, pour pouvoir bien se préparer et recevoir ses accessoires. Un échauffement sera réalisé à 10h en compagnie de la mascotte « Dunker ». Enfin le départ aura lieu à 10h30. Le tarif pour les adultes est de 8€ et pour les enfants il est de 4€. Une tombola sera organisée à la fin de la color race et il sera possible de venir se ravitailler à la fin du parcours. Les inscriptions sont ouvertes et se font sur le site internet d’HelloAsso : https://www.helloasso.com/associations/as-laclaie-basket Vous pourrez aussi retrouvez ce lien directement sur les comptes Instagram et Facebook de l’association : @ASLaClaiebasket Pour tout renseignement téléphone : 06 73 40 67 73 Mail : aslaclaiebasket56@gmail.com
La préfecture du Morbihan communique : « Depuis le début de l’année 2025, le département du Morbihan a enregistré 13 accidents mortels, parmi lesquels 4 sont directement liés à la consommation d’alcool ou de stupéfiants. Cette tendance inquiétante se reflète également dans les chiffres des suspensions de permis de conduire et notamment dans ceux des suspensions pour alcoolémie et usage de stupéfiants (cannabis et cocaïne). Depuis le 1er janvier 2025, 824 suspensions administratives ont été prononcées par le préfet du Morbihan dont 80% relèvent d’une infraction liée à l’alcool (46%) et/ou aux stupéfiants (34%). Ce bilan global est peu ou prou similaire aux années 2024 et 2023 avec toutefois ce constat inquiétant d’une progression rapide et régulière des infractions commises sous l’emprise de stupéfiants. Pour faire face à la recrudescence de ces conduites irresponsables et de ces comportements dangereux, les policiers et les gendarmes du Morbihan poursuivent leur mobilisation sur le terrain, à travers des contrôles renforcés. A titre d’exemple, la semaine dernière, un jeune conducteur en permis probatoire (moins de 3 mois de permis) a été sanctionné par une suspension de permis de 9 mois pour consommation de stupéfiants. Cette semaine, un homme de moins de 30 ans a vu son permis suspendu pour 12 mois (le maximum) après avoir été contrôlé à 161 km/h au lieu de 110, avec un dépistage positif à l’alcool et au cannabis, et en état de récidive de moins de 5 ans. Pour rappel, la suspension administrative du permis de conduire est une mesure de sécurité, décidée par le préfet, à la suite d’une constatation d’une infraction grave au code de la route. Le barème qui définit les durées de suspensions de permis en fonction des infractions relevées est arrêté conjointement par le préfet de département et par les procureurs de la République de Vannes et de Lorient. Dans le Morbihan, la durée de suspension administrative est au minimum de 6 mois en cas de consommation de stupéfiants et peut être augmentée jusqu’à 12 mois en cas de circonstance aggravante (permis probatoire, récidive, accident, consommation de stupéfiants et d’alcool). Cette mesure ne préjuge pas de la décision judiciaire (peine complémentaire de suspension, perte de points, amende, confiscation de véhicule, etc). »
Le magasin Lidl de Guer qui devait être ouvert ce jeudi 8 mai jusqu’à 20 heures a fermé ses portes à 12 h 30. Décision imposée par un mouvement de grève déclenché par les salariés. C’est une première pour ce magasin qui était resté ouvert lors d’un précédent mouvement en février dernier qui avait touché de nombreux magasins en France et notamment dans le pays de Ploërmel. Les salarié(e)s en grève qui campaient ce matin devant l’entrée du magasin expriment leur ras le bol face à des conditions de travail qui selon eux ne cesse de se dégrader. Ils dénoncent notamment une charge de travail « énorme » sans embauche pour y faire face. D’autant que le magasin de Guer subit le contre coup de la fermeture de celui de La Gacilly qui est en cours de reconstruction. Du coup, les clients de ce dernier se rabattent sur celui de Guer, ce qui accroit la charge de travail. Ils expriment un mal-être grandissant alimenté par la suppression de primes d’intéressement et de participation et la perspective de l’ouverture généralisée le dimanche matin à partir du 1er juin, ce qui avait motivé la grève du mois de février dernier. « On fait des heures et sans la moindre reconnaissance. Je pars de chez moi tôt le main pour rentrer à 21 heures. Je ne vois pas mes enfants. Et on va aussi perdre nos dimanches… », témoigne une employée. Tous se disent épuisés physiquement et moralement. « C’est simple, le moral il n’y en a plus du tout. Ici, il n’y a que la performance qui compte. Ca devient très compliqué. On subit une pression énorme. Même les étudiants ne restent pas… », renchérit un de ses collègues.
« On n’a le droit de grève que le dimanche et les jours fériés… », affirment-ils. Ce qu’ils ont fait ce jeudi férié, sans trop savoir sur quoi peut déboucher ce mouvement qui résonne comme un cri de désespoir. Et finalement, l’annonce de la fermeture anticipée du magasin à 12 h 30 leur apparait déjà comme une petite victoire.
Le ministre de l’Intérieur Bruno Reetailleau effectue un déplacement en Bretagne ce vendredi 9 mai 2025. Il sera le matin dans le Finistère pour inaugurer des locaux de la gendarmerie et de la police. L’après-midi, il sera à Quiberon où il doit faire des annonces concernant le plan national de contrôle des ports avant de découvrir les moyens de l’Etat en mer dans le Morbihan (gendarmerie maritime, office français de la biodiversité, SNSM, brigade nautique, SDIS 56…). Il procédera notamment à l’inauguration de la nouvelle vedette de la brigade nautique…
Ensuite, Bruno Retailleau qui est également candidat à la présidence des républicains doit participer à une réunion politique qui se déroulera à la salle des fêtes de Ploërmel à partir de 19 heures. Cette visite s’adresse avant tout aux membres de la famille politique du ministre de l’intérieur qui sera accueilli par le maire de Ploërmel, Patrick Le Diffon et la sénatrice Muriel Jourda.
C’était une promesse faite par Patrick Le Diffon le maire de Ploërmel qui n’avait pas pu se rendre à la cérémonie organisée au musée de la Résistance en Bretagne pour les 100 ans de Marcel Bergamasco, ce héros Ploërmelais de la résistance. Une promesse tenue ce jeudi 8 mai 1945, celle de lui remettre la médaille de la ville. Une date et une occasion chargées de symbole puisque cette remise de médaille s’est déroulée à l’issue de la cérémonie commémorative. Une cérémonie également marquée par la présence d’un groupe d’élèves de la classe défense du collège Le Sacré Coeur de Ploërmel, que nous vous proposons de revivre en vidéo.
Le 30 avril dernier en début d’après-midi, un incendie dévastait près d’un hectare de terrain sur la commune de Saint-Jacut-les-Pins. L’intervention rapide des pompiers a permis de maitriser l’incendie.
« Les effectifs de gendarmerie engagés sur le terrain procédaient à plusieurs constatations. Les différentes investigations réalisées par les gendarmes de la COB d’Allaire et les techniciens de la cellule d’identification criminelle, permettaient de mettre en évidence l’origine criminelle de l’incendie », indiquent les gendarmes.
Un individu était rapidement soupçonné et était interpellé le soir même, puis placé en garde à vue.
Présenté devant le procureur de la République le 2 mai, il était placé en détention provisoire avant d’être jugé en comparution immédiate avec reconnaissance préalable de culpabilité le 6 mai. Il a été condamné à 3 ans d’emprisonnement, dont 1 an ferme, et était maintenu en détention.
« Cet évènement est l’occasion de rappeler de nouveau l’importance de respecter l’ensemble des mesures préventives de propagation des incendies », précise le commandant de la compagnie de gendarmerie. En particulier, j’en profite pour redonner les éléments que j’avais diffusés via une notification MaSécurité il y a quelques semaines avec le retour des premières chaleurs ».
Voici ces conseils :
Débroussailler consiste à réduire sur un terrain la masse des matières végétales de toute nature (herbes, branchages, feuilles…). Il s’agit de créer des discontinuités entre : – la végétation haute (arbustes et arbres) et la végétation basse (herbes, plantes…) ; – les végétaux d’une même taille ; les végétaux et les bâtiments.
Ces discontinuités permettent de diminuer le risque d’incendie, et en cas de feu de freiner la propagation de celui-ci et baisser son intensité. Plus un arbre sera éloigné d’une habitation ou d’un autre arbre, plus le feu aura des difficultés à se propager; et de manière générale, moins il y a de matière combustible présente, moins le feu sera puissant.
Débroussailler fait donc partie des bons conseils pour éviter les feux de forêts, en étant aussi vigilant : – aux cigarettes et aux déchets – aux barbecues et feux de bivouac – aux interdictions qui y sont relatives.
Ce jeudi matin, le cabanon situé en bordure de la départementale au hameau de Cahéran de Guillac, était couvert de graffitis, véhiculant des messages relatifs au conflit au Proche-Orient. Ce qui est étonnant, c’est que, selon nos informations, ce n’est pas la première fois que de tels actes de vandalisme se produisent au même endroit. Ils seraient même répétitifs. Vandalisme pur, acte d’un déséquilibré ou acte militant… Le mystère demeure sur les motivations du ou des auteurs de ces tags. Des plaintes ont été déposées à la gendarmerie.
Le 8 mai 1945, il y a 80 aujourd’hui, marquait la fin de la seconde Guerre Mondiale en Europe avec la capitulation de l’Allemagne Nazie. C’est ce jour important de notre histoire qui a été commémoré ce jeudi matin à Bohal. Pour l’occasion, un détachement de l’Ecole Militaire Inter Armes de la promotion « Ceux du Sahel » de Saint-Cyr Coëtquidan était présent pour rendre hommages aux enfants de Bohal mort pour la France. Des élèves de l’école Saint-Gildas ont eux aussi tenus à être présent pour perpétuer le souvenir cette période sombre de l’histoire. Ils ont interprété le chant des partisans et posé une gerbe de fleurs au pied du monument aux morts. La sénatrice Muriel Jourda s’est adressée dans son discours aux enfants de l’école pour souligner le rôle important des militaires qui risquent leur vie pour la France. De même pour les habitants de la commune qui sont engagés auprès des pompiers de Molac. Les portes drapeaux de la commune, Philippe Rozé président des anciens combattants de la commune qui a servi pour le RICM au Tchad, au Liban et durant la guerre de Golf, et Antoine Rouillé ancien combattant en Algérie, expriment tous les deux leur fierté de voir les citoyens présents pour cette cérémonie.
Ce jeudi, Campénéac a célébré le 80 ème anniversaire de l’Armistice du 8 mai 1945. Les Campénéacoises et Campénéacois étaient présents en nombre pour ce rendez-vous qui s’est déroulé en plusieurs phases : dépôt de gerbe à la stèle de Guinard en présence des familles des déportés pour un temps de recueillement puis devant le monument aux morts, place de la mairie.
Cette cérémonie s’est tenue en présence d’un détachement d’élèves officiers de l’Académie militaire de St Cyr Coëtquidan, d’un détachement de la gendarmerie de Ploërmel et des sapeurs-pompiers volontaires du Centre d’Incendie et de Secours de Campénéac. Elle s’est clôturée par la lecture d’un poème -« Liberté » de Paul Eluard- par les élèves de l’école Théodore Monod et de l’école Notre Dame. « Ils se sont beaucoup investis avec cœur et conviction. Un grand merci aux enfants et à Mesdames Les directrices Soazig Le Trionnaire et Laëtitia Larno. J’adresse également mes vifs remerciements au nom de l’ensemble du Conseil municipal à M. Louis-Marie Martin en qualité de Président de l’UNC, M. Alain Benoît Maître de Cérémonie, M. Jean Pelard, Maire honoraire, le détachement de la gendarmerie de Ploërmel, les élèves officiers de l’Académie militaire de St Cyr Coëtquidan, les sapeurs-pompiers volontaires du Cis de Campénéac, les services techniques et les citoyens qui ont participé à cette cérémonie du souvenir si précieuse », souligne Hania Renaudie, maire et conseillère départementale.
À l’issue de cet événement, un vin d’honneur a été offert dans la salle du Conseil municipal à tous les participants pour un temps de convivialité.
Derrière chaque village, chaque association, chaque famille de notre territoire, il y a une histoire unique. Et aujourd’hui, c’est à vous de la raconter.
Les Infos du Pays Gallo ouvre un nouvel espace À vous la parole ! Un endroit où chacun peut partager ses projets, ses initiatives, ses coups de cœur ou ses expériences du quotidien.
Parce que l’actualité, ce n’est pas seulement ce qui fait la une. C’est aussi ce qui fait battre notre territoire, jour après jour.
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Une séance exceptionnelle du film Les Oiseaux de pluie est programmée en présence de l’équipe du film au cinéma Beaumanoir à Josselin ce dimanche 11 Mai.
Le Film a effectué une tournée d’avant-première dans toute la France avant sa sortie nationale le 30 Avril.
L’équipe du film sera présente, accompagnée des oiseaux de médiation en liberté dans le cinéma! Les Oiseaux interviennent en médiation animale et font partie intégrante du film qui met en lumière la médiation animale auprès des personnes endeuillées.
Le Film est adapté pour les enfants à partir de 6 ans.
L’histoire :
Suite à la perte d’un proche, une peintre et réalisatrice ressent le besoin vital de créer pour pouvoir traverser son deuil. C’est ainsi qu’au fil des rencontres inattendues, une œuvre unique en son genre est née : un long métrage à la frontière entre la fiction, le documentaire et l’œuvre musicale. Les Oiseaux de Pluie propose une aventure visuelle et émotionnelle unique propice à la réflexion sur le deuil et sur la vie. Une œuvre lumineuse, qui célèbre la résilience et la capacité humaine à trouver la lumière, même au cœur de la nuit.
Comme dans toutes les communes de France, les élus et les représentants des anciens combattants se sont rassemblés ce jeudi autour du maire Stéphane Rouault pour commémorer les 80 ans de l’Armistice du 8 mai 1945. Des habitants étaient également présents au monument aux morts où le maire a procédé à un dépôt de gerbe.
Depuis le début de l’année scolaire Cécile White, artiste peintre de Campénéac, intervient au Lycée Mona Ozouf, dans le cadre d’un projet commun d’accompagnement et d’implication des élèves autour de la création avec projet pédagogique, intitulé « Construis ton empreinte », le slogan du lycée. Le fruit de ce travail a été présenté le lundi 5 mai avec le vernissage de l’exposition « Monde Flottant » qui restera exposée jusqu’au 27 juin dans le hall d’accueil du lycée ploermelais. Lors de ce rassemblement qui a réunis enseignants, parents élèves autour de l’artiste, Laurent Véron, le proviseur du lycée a souligné que ce projet s’inscrit parfaitement dans l’esprit du Lycée. « Merci pour tous ce que vous avez fait avec les élèves et leur avez fait découvrir. Le lycée a aussi pour vocation de s’ouvrir au territoire et pour cela nous continuerons à accueillir des expositions temporaires pour faire connaitre et mettre à l’honneur des artistes locaux », a-t-il indiqué. Cécile White a exprimé son étonnement de voir autant de monde présent tout en soulignant que « c’est très agréable de venir ici, j’ai toujours très bien été accueillie… Je remercie les élèves qui se sont fortement impliqués dans ce projet… » L’artiste a ensuite fait un récapitulatif de son passage au Lycée, la mise en place d’ateliers de monotype auprès de six classes de Seconde et la création de deux toiles : « Empreinte de savoirs » et « Empreinte de Liberté », une coproduction élèves-artistes pour le foyer. La conception de ces toiles, s’est déroulée lors de quatre ateliers de réflexion collective, le mercredi après-midi. Un moment de partage au cours desquels Cécile White a donné un petit questionnaire aux élèves afin de mieux les connaitre et comprendre leurs attentes, s’inspirer de leurs idées pour orienter la trame des œuvres à concevoir. « J’ai créé les designs en fonction des idées des élèves. Les deux toiles exposées portent une phrase de Mona Ozouf que je trouve tout a fait en adéquation avec les lieux, elles se répondent chacune, l’une à l’autre. Les élèves sont venus m’aider. J’ai même fait le ciel et le cosmos avec une d’entre elles… », raconte l’artiste. Pour la réalisation, l’artiste a été présente dans une salle voisine du foyer pendant 4 jours. Des heures de création pendant lesquelles, des élèves sont venus apporter leur touche, tel Joshua White, Thomas Mahé et Damien Belhomme qui confient avoir partagé un bon moment ensemble autour de l’œuvre « Empreinte du savoir ». « Nous avons fait les contours des fruits, je ne suis pas doué pour le dessin mais je me suis appliqué », témoigne Damien. Malvina Le Cléach et Mewenn Charles ont participé à l’ « Empreinte de Liberté ». « C’était chouette, on venait quand on voulait, alors souvent pendant les pauses nous y allions ».
Des ateliers bagad l’année prochaine
Une belle initiative, une porte ouverte à l’apprentissage de l’art et lors de la soirée Laurent Véron, le proviseur a confié que pour l’année prochaine, des ateliers bagad seraient mis en place en partenariat avec le Bagad de Ploërmel. Une nouvel en écho avec les actions telle que la vente de pains au chocolats, gâteaux menées par les élèves avec Madame Martin pour récolter des fonds pour améliorer leur quotidien. Cette année cela a permis aux élèves de faire l’acquisition d’un piano installé à côté du foyer qui suscite l’approbation et l’attrait des jeunes étudiants tous les jours.
Oyez oyez, damoiselles et damoiseaux, ce week-end les chevaliers de l’Oust et les vikings après de longues années de querelles vont se réunir pour la première fois pour deux jours de pourparlers autour de l’étang des Forges de Lanouée. Un endroit calme et serein non loin des Forges où naguère flamboyait son haut fourneau. Un tel évènement va attirer les foules, soldats et commerçants, s’attrouperont pour festoyer pour la première de » la Médiévale du Loc’h » organisé par les chevaliers de l’Oust en co-organisation avec l’association vikings et chevaliers. Les chevaliers de l’Oust, c’est le cercle d’escrime AMHE du pays de Josselin (Art Martiaux Historiques et Européen de combat médiéval). « L’association a été fondée en 2022, en premier lieu pour pratiquer le sport de combat mais aussi pour mettre en scène des reconstitutions historiques. L’association est ouverte à tous même aux familles, les séances de combats sont ouvertes à partir de 16 ans. Les séances d’entraînement se déroulent le vendredi soir de 19 h à 20 h30 et pendant les vacances les lundis et vendredis soir mêmes horaires. Si vous aimez l’histoire, vous pouvez allier avec nous, histoire et sport pourquoi pas à venir essayer ou nous rencontrer ce Week-end », précise Julien Le Deuff, président de l’association. Celle-ci organise des marchés, fêtes médiévales, fantastiques… afin qu’artisans, commerçants, artistes et compagnies, puissent travailler un maximum tout au long de l’année, en mettant en avant leur savoir-faire et pour valoriser le patrimoine de notre belle Bretagne.
Pratique :
« La Médiévale du Loc’h » à l’étang des Forges de Lanouée, le samedi 10 et dimanche 11 mai de 10 h à 18 h avec un marché médiéval et fantastique, ses campements et diverses animations, combats, orcball, chasse aux trésors, théâtre, maquillage, contes, des présentations impromptues sur les camps, tireuses de carte et bien d’autres encore)…Et bien sûr buvette et restauration sur place pour festoyer ensemble.
À l’occasion du 80è anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945, la commune a rendu un hommage à celles et ceux qui ont combattu pour la liberté.
Dépôt de gerbes à Quily, au Roc Saint-André et cérémonie au monument aux morts de La Chapelle-Caro suivie du vin d’honneur. Habitants, enfants, porte-drapeaux, anciens combattants, élus se sont retrouvés pour ce devoir de mémoire.
« Pas un sacrifice, pas une larme, n’auront donc été perdus », pouvait-on entendre dans le message officiel du ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Ce message rappelait que derrière cette victoire se cachait un immense tribut humain : soldats tombés, résistants torturés, civils déportés et victimes de la Shoah.
Plusieurs enfants ont lu des poèmes.
Le message de l’UFAC, (Union Française des associations de combattants) destiné à la jeunesse, a également été lu : « Le 8 mai 1945 portait un espoir de Paix. Aujourd’hui, la guerre est de retour aux portes de l’Europe. » À travers ces mots, c’est toute une génération qui a appelé à la vigilance : transmettre, comprendre et défendre les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité.
Le ministre de l’intérieur est en déplacement en Bretagne ce vendredi 9 mai. Il s’est rendu ce matin dans le Finistère puis dans le Morbihan cet après-midi à Quiberon. Entre ces rendez-vous ministériels, Bruno Retailleau qui est en campagne pour la présidence des Républicains participe à des réunions politiques. C’est le cas ce vendredi soir à la salle des fêtes de Ploërmel où plus de 500 personnes sont présentes. Dans son discours d’accueil, le maire de Ploërmel, Patrick Le Diffon apporte son soutien inconditionnel au candidat. L’ambiance est survoltée et la foule réagit aux phrases choc de Bruno Retailleau. Le discours de ce dernier s’adresse aux militants des Républicains, bien sur, mais il trace aussi les contours d’un programme présidentiel.
A l’extérieur, quelques manifestants tentent de se faire entendre, mais sont rapidement écartés par les forces de l’ordre déployées en nombre dans toute la ville. La réunion se déroule sans incident. Bruno Retailleau est acclamé et a beaucoup de mal à se frayer un chemin dans la foule. Revivez cette soirée en vidéo. D’autres infos à venir demain.
Le député Paul Molac a décidé d’alerter la ministre de l’éducation, Elisabeth Borne sur une situation préoccupante de certains établissement scolaires dans lesquels les remplacements ne sont pas assurés. Dans sa lettre il cite par exemple, le cas du lycée Mona Ozouf, du collège Sainte-Marguerite de Josselin. Le communiqué de Paul Molac :
« Alerté par plusieurs chefs d’établissement de ma circonscription, j’ai décidé d’interpeller la ministre de l’Education nationale sur une situation inédite et extrêmement préoccupante affectant de nombreux établissements scolaires bretons, publics comme privés sous contrat : depuis les vacances de printemps, les demandes de suppléance sont quasiment toutes gelées. Résultat, de nombreux élèves se retrouvent sans enseignement, même dans des disciplines fondamentales, parfois à quelques semaines du brevet ou du baccalauréat.
Des absences longues ne sont plus remplacées, malgré la présence de candidats remplaçants qualifiés. Dans le privé sous contrat, certains suppléants ont même dû cesser leur mission faute de financement par le rectorat. Ce blocage suscite colère, frustration et un profond sentiment d’abandon à la fois au sein des équipes pédagogiques et des familles concernées.
Ce n’est pas aux enseignants en poste de compenser, souvent bénévolement, ces défaillances. Ce n’est pas non plus aux élèves de payer le prix de choix budgétaires. Le droit à l’instruction est un fondement de notre République. Il n’est ni un luxe, ni une variable d’ajustement et doit être garanti pour tous, sans exception.
Aussi, je demande au rectorat et au ministère de rétablir sans délai les moyens nécessaires au remplacement des enseignants absents et à la continuité pédagogique dans tous les établissements bretons.
Paul Molac »
La lettre de Paul Molac à la ministre de l’éducation, Elisabeth Borne :
Politique migratoire, ruralité, déficit abyssal de la France, éducation familiale et scolaire, ultra violence juvénile… Pendant une heure et demi, Bruno Retailleau, qui avait troqué sa casquette de ministre de l’intérieur contre celle de candidat à la présidence du parti Les Républicains a décliné sa vision de la France. Un discours qui a enflammé les quelques 500 sympathisants rassemblés à la salle des fêtes de Ploërmel où se tenait une réunion politique dont Bruno Retailleau était la vedette. Deuxième meeting politique de ce dernier dans la journée qu’il avait calé entre deux déplacements ministériels dans le Finistère et le Morbihan. Bruno Retailleau a utilisé des formules chocs pour dépeindre la situation politique de la France et prôné des mesures énergiques pour redresser le pays.
Un discours qui s’adressait à un public beaucoup plus large que les seuls militants LR et qui a séduit le maire de Ploërmel, Patrick Le Diffon. Dans un entretien qu’il nous a accordé, celui-ci a confirmé son soutien « plein et entier » à Bruno Retailleau. Pour lui, c’est le « vrai chef », le général dont les Républicains ont besoin. Le maire de Ploërmel parait même soulagé de cet élan qui semble porter son parti, tombé très bas dans le vote des Français. Et pour lui, il ne fait aucun doute que Bruno Retailleau est le candidat idéal des Républicains pour l’élection présidentielle. Ecoutez sa réaction dans notre vidéo.
« C’était une belle cérémonie », pour la 1ère fois, la commune de St Nicolas du Tertre a eu le plaisir d’accueillir, un détachement de l’Académie Militaire de Saint-Cyr Coëtquidan afin de commémorer devant le monument aux morts la fin de la seconde guerre mondiale. La municipalité et l’association UNC de Saint Nicolas du Tertre avait préparé tout un programme pour cette journée, marquant les 80 ans de la victoire des Alliés et la capitulation de l’Allemagne nazie du 8 mai 1945 : commémoration au Monument aux Morts, cérémonie à la salle polyvalente, vin d’honneur et repas de l’association. Comme pour chaque commémoration, la cérémonie commence par un départ en cortège et en musique depuis le parvis de la mairie, avec en tête, les porte-drapeaux, suivi des élèves de l’Académie Militaire, dont les pas cadencés résonnent dans le bourg. L’assemblée s’est ensuite retrouvée à la salle polyvalente, où était prévu une remise de diplôme et de drapeaux. En effet, en octobre 2024, Carl, Alizée et Bernard ont suivi une formation à Vannes avec l’ONACVG (Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre). « Nous souhaitons mettre à l’honneur cet engagement par une cérémonie de remise officielle de leur diplôme. La municipalité a également fait l’acquisition d’un nouveau drapeau qui porte le nom de la commune, celui-ci sera confié à l’UNC », souligne Anita Hemery, adjointe et correspondante défense.
Une cérémonie émouvante qui met à l’honneur la transmission et la mémoire.
Le Maire Mickael le Goué, Yves Couchellou (vice- Président UNC de St Nicolas) et Jean Ricaud (Président UNC de St Nicolas) ont remis les diplômes aux Portes-drapeaux, puis suivant un protocole précis : Mr le Maire a remis à Jean Ricaud, le nouveau drapeau, drapeau confié ensuite à la jeune Porte-Drapeau Alizée (16 ans). Lors du vin d’honneur les élèves de l’Académie sont allés à la rencontre de la population, pour de riches échanges, un grand moment de partage intergénérationnel avec ces jeunes femmes et hommes qui perpétuent par l’engagement et le souvenir des combattants Morts pour la France
Information : l’UNC organise le 24 mai prochain une sortie au Musée de la Résistance à St Marcel, et souhaite associer les jeunes nicolasiens. Avec Mr le Maire, le conseil municipal s’est accordé pour une voter une subvention permettant une remise de 2 euros pour les adultes et la gratuité pour les enfants et les moins de 18ans. Les inscriptions sont en cours.
Les prévisions météorologiques laissaient craindre le pire, mais finalement, les orages ont épargné le début de soirée, la pluie n’est arrivée qu’à la fin du défilé. La foule était une fois de plus au rendez-vous ce samedi soir pour assister au carnaval de Ploërmel dans sa version nocturne. C’est un autre spectacle que celui de jour, les chars et les groupes étant illuminés. Voici les premières images de ce défilé nocturne.
L’évènement de la soirée c’était aussi la première corrida urbaine du carnaval qui a attiré dans les rues plus de 200 participants. Nous y reviendrons ce dimanche.
La 1ère corrida du carnaval, organisée par le club d’athlétisme ploërmelais de l’ESM, s’est déroulée samedi en marge du défilé du carnaval 2025. Une première plutôt réussi pour plusieurs raisons. Par sa fréquentation tout d’abord, puisqu’elle a réuni environ 200 participants. Par son ambiance festive et drôle qui collait à merveille avec le carnaval puisque beaucoup de concurrents ont joué le jeu de se costumer avec pour certains beaucoup de goût. Et puis pour son intérêt sportif puisque plusieurs participants ont souligné que son parcours urbain de 10 km n’en était pas moins très exigeant… C’est donc une bonne façon de captiver l’attention du public en attendant le départ du carnaval qui a encore connu un grand succès populaire (voir en cliquant ici).
Il s’agit donc sans doute d’une expérience qui sera renouvelée… Voici le classement et les images de cette 1ère corrida du carnaval.
On sait que Saint-Guyomard est le théâtre chaque année au mois d’août d’une reconstitution des noces bretonnes qui attire beaucoup de monde. Ce samedi 10 mai était également un jour de noces à Saint-Guyomard mais pour une toute autre raison. Il s’agissait de célébrer l’union de la commune avec celle de Saint-Hippolyte située en Alsace, dans le Haut-Rhin. C’est un projet qui est né en 2022, d’un constat partagé entre Lydia Guyot conseillère municipale et Nathalie Quatrevaux. Pourquoi est-ce que Saint-Guyomard n’a pas de ville jumelle? La question a été posée au maire, Maurice Braud qui a aussitôt trouvé la suggestion pertinente. A partir de ce feu vert, les deux complices se sont lancées à la recherche de l’âme soeur. « La Bretagne/l’Alsace, l’ouest/l’est… C’était une évidence… », résume Lydia Guyot qui est devenue présidente du comité de jumelage crée depuis à saint-Guyomard. Après plusieurs contacts, c’est Saint-Hippolyte qui a réagit positivement à cette sollicitation. Ce premier contact a été suivie d’échanges et de visites réciproques. Bien sur, une délégation de Saint-Hippolyte est venue voir à quoi ressemblaient les noces bretonnes. Au fil du temps, les liens se sont tissés entre les deux villes et le moment était venu d’officialiser cette union.
Jeudi, une délégation alsacienne est arrivée à Saint-Guyomard pour un séjour de trois jours qui lui a permis de découvrir les attraits touristiques du département et notamment le Golfe du Morbihan. Mais l’objectif de cette nouvelle visite était de signer un accord de jumelage, à l’occasion d’une cérémonie organisée samedi en fin d’après-midi sur le parvis de la mairie. Une partie de la délégation de Saint-Hippolyte portait le costume traditionnel alsacien et leurs homologues de Saint-Guyomard le costume breton. Les maires de plusieurs communes alentours ainsi que le député Paul Molac assistaient à cette cérémonie très conviviale et très émouvante. Lydia Guyot n’a pu retenir une larme au moment de son discours, ce qui témoigne de la solidité et la sincérité des échanges entre les deux villes.
Après les discours qui ont insisté sur le fait que ce jumelage reposait sur la volonté commune de construire des liens d’amitié, il y a eu un échange de cadeaux. Lydia Guyot a remis à Isabelle Koeberle, adjointe au maire de Saint-Hippolyte et présidente du comité de jumelage un tableau réalisé par une artiste locale représentant les deux blasons cote à cote. Le maire de Saint-Hippolyte avait amené dans ses bagages une bouteille d’une cuvée spéciale jumelage de Pinot noir, un délicieux nectar alsacien dont sa commune est l’une des deux seules pouvoir porter l’appellation. Une occasion de plus pour aller découvrir les charmes de la région alsacienne…
Le dernier match à domicile de l’équipe de Ruffiac-Malestroit face au stade Castelbourgeois se solde par une défaite (0-3). Mais l’essentiel n’est pas là. Car en dépit de cette défaire Ruffiac-Malestroit grâce à la défaite de le Rheu conserve sa place en Régionale 2 pour la saison prochaine. Nous y reviendrons dans la soirée
Le maintien de l’équipe de football de Ruffiac-Malestroit se jouait ce dimanche 11 mai. Les verts de RMF recevaient le leader du groupe, le stade Castelbourgeois pour jouer une équation à multiples inconnues. Le plus simple, c’était de battre les visiteurs, ce qui assurait le maintien. Mais c’est un autre scénario qui s’est construit sur le terrain. Le Stade Castelbourgeois qui est assuré de monter en Régional 1, n’a cependant pas déjoué. Il a construit une victoire sans appel avec pragmatisme et lucidité dans un stade de Ruffiac où une certaine tension, à tout le moins une certaine inquiétude était palpable. Mené 3 à 0, le clan de Ruffiac-Malestroit vacillait, le scénario le plus simple s’effondrait. Restait l’autre hypothèse, celle d’une défaite de Le Rheu qui jouait en même temps contre Vitré. Mais dans les arrêts de jeu, le Rheu menait 2-1 : le scénario catastrophe pour Ruffiac-Malestroit qui n’était plus maître de son destin. Et soudain un murmure parcourt les gradins : Vitré venait d’égaliser. A 2-2, un espoir subsistait pour Ruffiac-Malestroit car dans cette configuration, le sort des deux équipes se serait joué lors de leur rencontre dimanche prochain, dernière journée du championnat. Et puis soudain, tout bascule avec la victoire finale de Vitré (3-2) qui scelle le maintien de Ruffiac-Malestroit en régionale 2 pour la saison prochaine.
Que d’émotion dans le stade où une atmosphère étrange s’installe. Les joueurs qui ont fait une haie d’honneur à leurs adversaires et à leur entraineur sur le départ, Maxime Michel, ne laissent pourtant pas exploser leur joie. On sent une certaine gravité. Il faut que le président Anthony Poyac -qui a annoncé sa démission- leur rappelle que, oui, c’est bien vrai, ils joueront toujours en régionale 2 la saison prochaine. C’est alors la prise de conscience qui déclenche l’enthousiasme du stade, des joueurs, de l’encadrement et du public. Après tout, Ruffiac-Malestroit a quand même aligné dix victoires au cours de ce championnat.
Mais après cette bonne nouvelle, le club de Ruffiac-Malestroit -qui a connu un début de saison euphorique et hyper-médiatisé avec son parcours en coupe de France-, va devoir relever de nombreux défis face au départ de son entraineur et de son président. Une péripétie de plus dans une histoire qui n’en a pas manqué. L’aventure continue…
« En tant que collectif de parents d’élèves élus, nous tenons à souligner l’atmosphère constructive qui a marqué les récentes réunions de groupe de travaux sur l’avenir de notre école, principalement sur l’usage du bâtiment B. Le dialogue, maintenant rétabli avec les élus du Syndicat Intercommunal, nous a permis d’exprimer nos préoccupations et de défendre notre vision pour l’avenir de nos enfants.
Cette vision, nous la structurons autour d’un projet phare : la création d’un pôle maternelle au sein du bâtiment B. Cette option, portée notamment par notre collectif de parents élus et le corps enseignant, émerge naturellement comme la plus pertinente.
Cette restructuration de l’école permettra de rétablir un espace dédié essentiel à nos tout-petits dont ils sont privés aujourd’hui.
Un pôle maternelle offrira l’espace nécessaire pour permettre et faciliter l’organisation d’activités pédagogiques variées, nécessaires à un apprentissage optimal pour les plus jeunes.
De plus, cela permettrait de rétablir des espaces précieux dans le reste de l’école. Ces espaces, aujourd’hui manquants alors qu’indispensables, comme le soulignent unanimement parents d’élèves et enseignants, pourraient être transformés en salles d’activités polyvalentes, salle de réunion et espace de stockage, permettant une plus grande flexibilité dans l’organisation des activités pédagogiques et offrant la possibilité d’accueillir un nombre croissant d’élèves si l’avenir l’exigeait.
A l’inverse, il apparaît clairement que l’aménagement d’une cantine dans le bâtiment B continuerait à perturber le bon déroulement des activités pédagogiques, et l’espace disponible serait insuffisant pour accueillir tous les élèves dans des conditions optimales. Cela pérenniserait, en outre, la réorganisation actuelle de l’école absolument inadaptée, dont le seul objet est de permettre les travaux de rénovation et ne peut donc être que provisoire.
La traversée de la route départementale menant au bâtiment de restauration scolaire est, bien sûr, un enjeu de sécurité majeur sur lequel nous alertons depuis des années. Pour autant, les problèmes de sécurité liés à la traversée de la route ne concernent pas uniquement la cantine. Ils mettent en danger tous les enfants qui se rendent à l’école ainsi que les classes fréquentant la médiathèque ou le cinéma.
Au fil de nos échanges avec les élus, nous avons ressenti une écoute attentive et une compréhension croissante de nos arguments. Nous avons le sentiment que notre projet de pôle maternelle a remporté l’adhésion, tant il semble répondre aux besoins de nos enfants et de notre école. Nous sommes confiants quant à l’avenir de ce projet, qui nous permettra de construire ensemble une école plus moderne, plus adaptée et plus accueillante pour tous. Nous encourageons donc les élus à persévérer dans cette dynamique afin de parvenir rapidement à un dénouement heureux.
Fort de ce nouvel élan, nous réaffirmons notre détermination à travailler ensemble et l’ambition qui nous anime de renforcer l’attractivité de notre seule école publique : Tarification sociale, commission cantine, création d’une cour de récréation végétalisée et inclusive et bien plus encore.
Nous ne manquerons pas de communiquer sur chaque avancée »
A Questembert, le 5 mai, signature de la charte entre le maire, Boris Lemaire et Véronique Tardres, présidente de France Alzheimer MorbihanA Malestroit, le 6 mai, signature de la charte entre le maire, Bruno Gicquello et Véronique Tardres, présidente de France Alzheimer Morbihan
Le dispositif Ville aidante Alzheimer est une initiative nationale portée par France Alzheimer et maladies apparentées, en partenariat avec les collectivités locales, visant à créer un environnement urbain plus inclusif, solidaire et adapté aux besoins des personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer ou une pathologie apparentée, ainsi qu’à leurs proches aidants. Bien plus qu’un engagement symbolique, il est destiné à être un véritable levier d’action locale pour bâtir une société plus inclusive et solidaire, où chacun, quelles que soient ses fragilités, a sa place dans la cité.
L’objectif est de permettre à ces personnes de continuer à vivre la ville, à y circuler, à y participer activement et dignement.
Devenir ville aidante Alzheimer a pour objectif de rompre l’isolement des personnes touchées et de leurs proches; changer le regard sur la maladie; créer des ponts entre la collectivité et le tissu associatif; s’inscrire dans une démarche de santé publique et de cohésion sociale.
Questembert et Malestroit viennent de signer cette charte avec l’association France Alheimer Morbihan représentée par sa présidente, Véronique Tardres. Un document qui n’engage pas de moyens financiers mais marque une volonté affirmée des deux communes de s’engager contre la maladie.
Une Charte d’engagements réciproques
L’adhésion au dispositif repose sur une charte d’engagements réciproques entre la collectivité signataire (la mairie) et France Alzheimer. Cette charte structure le partenariat autour de trois axes majeurs :
L’inclusivité
Les municipalités s’engagent à :
-Mettre en place ou soutenir des activités inclusives : actions culturelles, sportives, artistiques, cafés mémoire, ateliers cognitifs, etc. -Favoriser l’accessibilité dans les lieux publics (mise en place de repères visuels ou sonores). -Aider à l’autonomie des malades dans leur quotidien urbain. -Impliquer les personnes malades et leurs aidants dans les actions locales.
La sensibilisation
Les villes aidantes mènent des actions pour :
-Informer le grand public sur la maladie via les supports de communication municipaux (magazine, panneaux…). -Former les acteurs de la ville : commerçants, chauffeurs de bus, artisans, personnel scolaire, etc. -Sensibiliser les enfants dans les écoles, avec des temps éducatifs dédiés.
L’orientation
France Alzheimer accompagne les villes dans :
-L’orientation des familles vers les ressources disponibles (formation des aidants, soutien psychologique, activités…). -La mise en lien avec les associations départementales du réseau. -L’organisation du transport adapté pour accéder aux activités proposées.
Un engagement souple, adapté aux réalités locales
Chaque municipalité reste libre de ses moyens et choisit les actions qu’elle est en mesure de mettre en œuvre, tout en étant soutenue par France Alzheimer dans leur réalisation.
Ce dispositif représente une démarche citoyenne et humaniste, qui reconnaît le droit des personnes malades à participer à la vie sociale, culturelle et communautaire.
La signature de la charte à Questembert :
Voici pourquoi la municipalité de Questembert a décidé de s’engager en signant la charte Ville aidante Alzheimer :
La signature de la charte à Malestroit :
Voici pourquoi la municipalité de Malestroit a décidé de s’engager en signant la charte Ville aidante Alzheimer :
Ce dimanche 11 mai vers 18 h 30, un accident s’est produit sur la RN24 à la hauteur de Plumelin. Un automobiliste âgé de 18 ans, qui circulait dans le sens Rennes-Lorient a perdu le contrôle de son véhicule et a percuté un arbre. Son véhicule a fait des tonneaux et s’est immobilisé sur le toit. Le conducteur a été transporté par les pompiers à l’hôpital de Vannes pour des examens de contrôle.
Les dépistages effectués par les gendarmes se sont révélés négatifs.
Le carnaval de l’école Sainte Anne de Ruffiac s’est déroulé ce vendredi après-midi. Les élèves se sont costumés selon le fil rouge de l’année : le cinéma.
Les Reines Des Neiges, Harry Potter, Charlie Chaplin ont ainsi côtoyé les personnages de Grease et Astérix !
Après un défilé dans les rues de Ruffiac, les élèves ont enchainé avec un flash mob dans la cour de l’école. Les parents, grands-parents et amis de l’école étaient au rendez-vous !
Depuis 2018, Questembert Communauté et la Région Bretagne s’unissent pour renforcer le tissu économique local à travers le Pass Commerce et Artisanat, un dispositif d’aide à l’investissement dédié aux très petites entreprises (TPE). À ce jour, une trentaine d’entreprises du territoire ont bénéficié de ce soutien. Marion Viel des boulangeries de Questembert et Berric ainsi que Gilles Demaure et Agnès Vaillier du restaurant Fleurs d’Aubépine de la Vraie-Croix ont bénéficié de cette aide. Ils sont venus témoigner de son efficacité ce lundi matin au siège de Questembert où Patrice Le Penhuizic, président de Questembert Communauté,Paul Molac, député et conseiller régional, et Maxime Picard, vice-président de Questembert communauté en charge de l’économie ont fait le point sur ce dispositif qui s’inscrit dans une stratégie plus globale (voir notre vidéo).
Dans un contexte où la survie et la relance des activités économiques locales sont devenues une priorité, l’intercommunalité multiplie les initiatives pour soutenir la création, la reprise, l’extension ou encore la modernisation des entreprises. Trois grands programmes sont aujourd’hui en œuvre :
–Le programme « Petites Villes de Demain » pour Questembert et Malansac,
–Le fonds de concours « Dernier commerce »
-Et bien sûr, le Pass Commerce et Artisanat, au cœur du dispositif d’appui local.
960 000 € d’investissements des entreprises locales
Depuis son lancement, le Pass Commerce et Artisanat a permis d’accompagner 25 entreprises, auxquelles s’ajoutent 5 actuellement en cours de suivi, pour un total de plus de 140 000 € de subventions versées par Questembert Communauté et la Région Bretagne. Cela représente environ 15% des 960 000 € d’investissements privés de la part des commerçants et artisans sur le territoire.
Parmi les secteurs les plus soutenus, les métiers de bouche occupent une place de choix avec 7 boulangeries et boucheries installées. Le dispositif a également bénéficié à 6 restaurants, 6 épiceries et commerces multi-services, ainsi qu’à 4 salons de coiffure, 3 commerces de détail (dont un caviste, un opticien et un tabac-presse), et 2 artisans spécialisés (un ébéniste et un voilier traditionnel).
Un impact durable jusqu’en 2028
Le dispositif, qui se poursuit jusqu’en 2028, ne se limite pas à une simple aide financière. Il contribue également à une dynamique vertueuse sur le territoire, en favorisant l’investissement privé et en générant de nouvelles opportunités économiques locales. Un levier stratégique qui confirme l’ambition de Questembert Communauté : faire du développement économique de proximité une priorité territoriale durable.
Dernier commerce
Le pass commerce et artisanat n’est pas le seul levier de soutien dont dispose Questembert communauté. Il y a aussi le fonds de concours dernier commerce qui permet à la collectivité soutenir l’activité des commerces des cœurs de bourg des 11 communes (non couvertes par le dispositif petites villes de demain). A ce jour, l’intercommunalité a accompagné 12 projets dans 10 communes par le biais de ce fonds de concours, ce qui représente un soutien financier de près de 350 000 €.
Le Pass Commerce et Artisanat : comment en profiter
Qui peut en bénéficier ?
Toute entreprise artisanale ou commerciale indépendante : • inscrite au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers • située sur le territoire de Questembert Communauté • de moins de 7 salarié·e·s (hors gérant·e) • dont le chiffre d’affaire n’excède pas 1 million d’euros HT Les opérations éligibles portent sur les investissements matériels, d’attractivité, de travaux immobiliers d’embellissement, d’accessibilité, de mise aux normes, ou de stratégie commerciale ou numérique. Plafonnée à 7 500 €, la subvention correspond à 30 % des dépenses éligibles.
Comment en bénéficier?
Les dossiers de demande de subvention sont à réaliser en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie ou la Chambre de métiers et de l’artisanat. L’attribution de l’aide n’est pas automatique et résulte d’un examen déterminant l’intérêt économique du projet et la situation financière de l’entreprise. Les critères d’éligibilité peuvent être librement consulté sur le site de Questembert communauté dans la rubrique « Aides et dispositifs de soutien aux entreprises » Si vous êtes éligible, et que vous souhaitez engager les devis rapidement, transmettez une lettre d’intention via la plateforme dédiée au dispositif : https://region.bretagne.bzh/passcommerce/
Informations :
www.questembert-communaute.fr, onglet « services », rubrique « entreprendre » aides et dispositifs de soutien aux entreprises
Contact :
Marc Le Moing, service développement économique de Questembert Communauté 02 97 26 59 51 ou sur economie@qc.bzh
Découverte de tous les véhicules d’intervention et notamment du tout nouveau camion de lutte contre les feux de forêts, enfiler un casque de pompiers, tenir et mettre en action une lance… Les élèves de CE1/CE2 de l’école Saint-Joseph de Ploërmel en ont pris plein les yeux ce lundi en début d’après-midi en visitant le centre de secours de Ploërmel. Cette visite se situait dans le prolongement d’une première action menée au sein de l’école sur le thème de la sécurité. Dans le cadre de cette opération, les écoliers ont reçu une formation aux gestes de premiers secours dispensée par Ploërmel communauté.
Une réunion d’échanges entre les services de l’État et les maires concernés par les demandes de permis exclusifs de recherche Epona et Taranis s’est déroulé ce lundi 12 mai 2025 à la préfecture du Morbihan en amont de l’ouverture de la consultation nationale. Après cette réunion, la préfecture diffuse le communiqué suivant : « Le préfet du Morbihan, coordinateur de l’action locale menée par les services de l’État dans les trois départements, a souhaité rencontrer le 12 mai l’ensemble des maires et présidents d’intercommunalités concernés par les demandes de permis exclusifs de recherches (PER), déposés par la société BREIZH RESSOURCES en 2023 auprès du Ministre de l’Économie, sous la dénomination d’EPONA et de TARANIS. Ces demandes, qui visent à disposer d’une meilleure connaissance de la ressource en minéraux et métaux du sous-sol local, concernent respectivement 4 communes du Morbihan (EPONA) et 20 communes1 réparties sur les départements du Morbihan, d’Ille-et-Vilaine et de Loire Atlantique (TARANIS). L’objectif de cette réunion organisée en préfecture du Morbihan était d’échanger avec les élus sur l’état d’avancement de l’instruction des dossiers et de répondre à leurs interrogations. Une vingtaine d’élus étaient présents pour ce temps d’échanges aux côtés du pétitionnaire BREIZH RESSOURCES, des services de l’État et de M. Benjamin Gallezot, délégué interministériel aux approvisionnements en minerais et métaux stratégiques (DIAMMS) qui a exposé la stratégie nationale d’approvisionnement en matières premières critiques. Le préfet et le délégué interministériel ont tenu à rappeler deux points importants :
-un permis exclusif de recherches n’autorise pas la réalisation de travaux miniers ;
-si le PER devait être attribué, les mesures ou forages nécessaires à l’exploration feraient l’objet d’une autorisation au cas par cas. Une nouvelle (une première consultation a déjà été réalisée à l’été 2024) consultation du public sera organisée par voie électronique sur ces demandes, du 19 mai au 18 juin, sur le site Internet du Ministère de l’Économie.
Cette consultation permettra notamment à chacun de prendre connaissance de la nature des demandes de permis exclusifs, mais aussi de l’avis rendu le 13 février 2025 par l’Autorité environnementale, entité indépendante, sur l’évaluation environnementale des projets. L’Autorité a jugé les dossiers présentés de bonne qualité et a émis plusieurs recommandations, concernant notamment la préservation des captages d’eau destinée à la consommation humaine et l’évitement des zones humides.
La société BREIZH RESSOURCES a apporté une réponse à chacune de ces recommandations. Ces réponses figurent dans un mémoire qui sera également porté à la connaissance du public. Le préfet a précisé qu’un document très complet, apportant des réponses aux principales interrogations formulées à ce stade, a été mis en ligne sur le site Internet de la DREAL Bretagne. »
ANNEXE Liste des communes concernées par le PER EPONA :
Morbihan : Hennebont, Nostang, Kervignac et Languidic
Liste des communes concernées par le PER TARANIS :
Morbihan : Saint-Congard, Saint-Laurent-sur-Oust, Ruffiac, Tréal, Saint-Nicolas-du-Tertre, La Gacilly, Cournon, Les Fougerêts, Saint-Martin-sur-Oust
Le Rugby en Bretagne fait de plus en plus d’adeptes. Les clubs du territoire s’unissent pour former des équipes jeunes. C’est le cas pour Sérent, Ploërmel, Paimpont, Guer et Mauron qui ont unis leurs joueurs juniors sous la bannière du Rugby Club Brocéliande Oust (RCBO) de Sérent. Après une première partie de saison en régionale 1, le groupe a clôturé sa saison avec une finale en R2 perdue sur le fil face à Trégor Goëlo (31-35). Alors, pour leur permettre de continuer à pratiquer leur sport de prédilection, Kelig Lorent, le salarié sportif du RCBO, référent pole jeune et coach des U16 a mijoté une fin saison de prestige pour les U19. Il en devient le coach provisoirement du 23 au 25 mai pour défendre les couleurs bretonnes au Tournoi International Howard Hinton, un rassemblement de prestige pour le rugby à 7. Ce projet entre dans le cadre de la formation professionnelle de Kelig pour l’obtention d’un BP JEPS Rugby.
C’est un évènement majeur pour les clubs associés, une fête qui se déroulera au complexe sportif de la vallée du cher à Tours. Samedi soir lors de la remise du maillot, le club a annoncé officiellement sa participation retenue pour ce grand rassemblement avec des équipes venant de tous pays de toutes catégories féminines masculines jeunes et seniors du Rugby à 7.
Le Campus La Mennais a inauguré ce lundi soir son nouveau bâtiment technique de 3 245 m², marquant une étape majeure dans son développement et son engagement en faveur d’un enseignement innovant et de qualité. Ce projet, intitulé « Vivre ensemble », s’inscrit dans une dynamique de modernisation et de développement de l’établissement pour mieux répondre aux besoins pédagogiques actuels et futurs. Et sans attendre, Véronique Calas, la cheffe d’établissement a annoncé dans son discours, l’ouverture, dès la rentrée prochaine, d’un BTS Maintenance des Systèmes – Option A : Systèmes de production en apprentissage. Une nouvelle opportunité pour les jeunes du territoire de se former à des métiers porteurs.
Un budget respecté
Le projet a respecté son budget initial de 8,3 millions d’euros, annoncé lors de la pose de la première pierre, le 19 septembre 2023. Il a été financé à 34 % par la Région (soit 2,84 M€), 2 % par les fonds de solidarité de la Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique (160 000 €), et 64 % par emprunt et fonds propres de l’établissement.
L’initiative a été validée dès juin 2019 par la communauté éducative. Accompagné par AMOFI pour l’assistance à maîtrise d’ouvrage, le projet a été mené avec rigueur : définition d’un schéma directeur immobilier, priorisation des travaux et élaboration d’un programme technique détaillé.
En 2020, la maîtrise d’œuvre a été confiée à un groupement d’architectes et d’urbanistes. Leurs propositions ont su conjuguer innovation, rénovation et contraintes pédagogiques.
Un chantier confié à des entreprises locales
Le permis de construire a été obtenu le 13 juillet 2022, et les travaux ont démarré le 16 décembre 2022. Véronique Calas a insisté sur le choix assumé de recourir à des entreprises locales, bretonnes ou de proximité.
Le chantier s’est déroulé dans un contexte difficile, puisqu’en même temps les travaux de réfection du centre ville se poursuivaient. Mais finalement les deux chantiers ont pu être menés à bien.
Le nouveau bâtiment regroupe 1 325 m² d’extension et 1 920 m² de réhabilitation. Il comprend des plateaux techniques destinés aux filières Industrie, Informatique, Ingénierie, ainsi que des salles mutualisées pour les sciences de la vie et de la terre (SVT), les langues vivantes, la vie scolaire et la laborantine.
Les aménagements extérieurs ont été repensés pour sécuriser l’établissement et améliorer la qualité de vie des usagers et des Ploërmelais. Il ne reste à ce jour qu’à finaliser l’entrée du lycée et la signalétique globale. De nombreuses personnalités ont participé à cette inauguration dont 4 lycéens représentants les différentes filières du lycée.
Le père Gildas, curé de Ploërmel, a procédé à la bénédiction des nouveaux locaux que les invités ont pu découvrir en détails.
Un accident s’est produit ce lundi 12 mai vers 20 h 30 au niveau du stade de football de Moréac. Un enfant de 12 ans qui circulait à vive allure en trottinette électrique à contre-sens et sans protection a percuté une voiture. L’enfant qui ressentait une douleur au ras, a été transporté par ses parents à l’hôpital de Pontivy pour subir des examens. Le dépistage alcoolémie effectué par les gendarmes sur la conductrice de la voiture s’est révélé négatif. Sa voiture était en règle. La trottinette est en cours de vérification.
Dans un peu plus d’un mois, les 27 et 28 juin, la commune de Saint Servant va vibrer sous le son de la 17è édition du Festi’ Val de l’Oust 2025. Pour ce week-end festif et intergénérationnel, l’association Les Foustivités a mis en place une programmation prometteuse pour renouveler les performances d’affluence de ses deux dernières éditions avec une moyenne de 5 000 festivaliers sur deux jours. Pour rester dans cette dynamique, les organisateurs ont, la semaine dernière, réuni une partie des bénévoles pour débuter la campagne d’affichage mettant en avant la venue de groupes régulièrement sur les ondes de nos radios, Boulevard des airs, Keen’v, Eloiz, Joseph Kamel (voir programmation détaillée ci-dessous).
Au cœur de la vallée de l’Oust, sur le thème de Brocéliande, rendez-vous pour le monde féérique du cœur de la Bretagne, sa musique, ses mythes et ses mystères. Les organisateurs ont mis en place tous les ingrédients pour deux soirées mémorables avec une merveilleuse affiche pour débuter l’été en beauté. « Nous avons essayé de mettre en place un programme festif et éclectique qui devrait combler nos habituels festivaliers mais aussi certains qui malheureusement ne connaissent pas notre Festival. Nous n’avons pas la notoriété des grands festivals de l’ouest, comme Au Pont du Rock, Carhaix ou Saint-Nolf mais nous mettons tout en œuvre pour qu’il perdure comme un festival à taille humaine où convivialité respect multigénérationnel règnent », souligne le président, Corentin Danet. Selon lui, les réservations ont bien débuté et la soirée de vendredi risque fortement d’être à guichet fermé. « Je tiens a remercier nos partenaires qui nous soutiennent chaque année marquant leur attachement à notre festival mais aussi à tout nos bénévoles qui s’investissent pleinement à chaque édition », insiste-t-il.
Le Festi’Val de l’Oust en pratique
Vendredi 27 Juin :
– ALEE ET MOURAD (DE LA RUE KETANOU) – JOSEPH KAMEL – BOULEVARD DES AIRS – THE RUMPLED – KERLIN (intermèdes)
Samedi 28 juin
– ELOIZ – LES GAILLARDS D’EN FACE – KEEN’V – GOULAMAS’K – NOON – KERLIN (intermèdes)
Verdir et améliorer l’environnement quotidien des Lycéens. C’est pour atteindre cet objectif que la région Bretagne a voulu tester un nouveau dispositif de budget participatif lycéen. En 2023, neuf établissements bretons ont été choisis pour tester cette initiative parmi lesquels le lycée Brocéliande de Guer. La mise en oeuvre de ce dispositif constitue un véritable exercice démocratique. Des groupes d’élèves volontaires soumettent des projets à leurs camarades. A Guer, le vote a débouché sur la sélection de trois actions : la création d’un jardin de 50 m2 avec une pergola pour en faire un lieu de détente et d’observation (haies comestibles, potager, fleurs, aromates) et l’installation de 3 ruches gérées par des jeunes et adultes formés à l’apiculture ; l’acquisition de 20 VTT incitant aux mobilités douces et la formation de 30 éco-délégués qui sont partis 2 jours à vélo pour une classe découverte au CPIE en forêt de Brocéliande (biodiversité, fragilité des écosystèmes…). La région a débloqué un budget de près de 20 000 euros pour qu’ils puissent être mis en oeuvre. Deux ans plus tard que sont devenus ces projets? C’est ce qu’est venu constater, vendredi, Émilie Kuchel, conseillère régionale en charge des projets éducatifs et du budget participatif accompagnée de Paul Molac, député et élu régional siégeant au conseil d’administration du lycée. Ils ont été reçus par Franck Ogier, le proviseur du lycée, Bruno Perrichot, conseiller principal d’éducation, mais aussi les élèves concernés qui ont fait part de leur ressenti après cette expérience innovante.
La ville de Guer vient d’accrocher à ses entrées de ville de nouveaux panneaux intitulés « ville prudente », un nouveau label qui vient de lui être accordé.
il s’agit d’une distinction attribuée aux collectivités locales qui s’engagent activement en faveur de la sécurité routière et de la mobilité responsable. Initié par l’association Prévention Routière, il valorise les démarches menées par les communes pour réduire les risques d’accidents, protéger les usagers les plus vulnérables (piétons, cyclistes, enfants, seniors), et promouvoir une cohabitation apaisée entre tous les modes de déplacement. Il se décline en plusieurs versions en fonction de l’importance des actions menées qui se concrétisent par un nombre de « coeurs », un peu comme le nombre de fleurs pour les villes et villages fleuris. Cette gradation va de un à cinq coeurs accordés par un jury d’experts sur la base d’un dossier de candidature et d’une grille d’évaluation stricte.
Les éléments pris en compte sont multiples : les aménagements de voirie : (ralentisseurs, zones 30, pistes cyclables, passages piétons sécurisés); les actions de prévention et de sensibilisation (interventions en milieu scolaire, campagnes locales, journées sans voiture, etc); l’accompagnement des usagers vulnérables (dispositifs pour les enfants, personnes âgées, personnes en situation de handicap); l’innovation et la concertation (utilisation de radars pédagogiques, capteurs, implication des citoyens, partenariats avec des associations).
Guer qui a déposé sa candidature au label « Ville prudente » a été retenue avec un coeur et ce mardi matin Charline Bergeron, la directrice régionale de la Prévention Routière est venue remettre très officiellement le diplôme. Elle a rappelé qu’environ 500 villes en France seulement en bénéficient et que dans le Morbihan, Lorient a même obtenu le niveau maximum de 5 coeurs.
Comme l’explique Jean-Luc Bléher, le maire, la ville de Guer s’est engagée depuis plusieurs années dans une stratégie destinée à améliorer la sécurité des citoyens. Un sujet auquel le maire est très sensible, lui qui a été victime d’un très grave accident de la route en 1994, provoqué par un conducteur alcoolisé. Elle mène effectivement des actions de sensibilisation en milieu scolaire, a sécurisé la quasi totalité de ses entrées de ville, acheté des radars pédagogiques et bientôt la police municipale sera équipée de vrais radars. « Il faut faire de la prévention, mais au bout d’un moment quand les messages ne passent pas, il faut sanctionner… », indique-t-il. La police municipale qui a été renforcée joue un rôle primordial dans cette politique dont le point d’orgue sera peut-être la mise en place de la déviation du Val Coric qui va permettre de fermer la portion de l’avenue de Rennes pour imposer la quiétude dans ce quartier où circulent chaque jour des milliers de véhicules. Groupama est partenaire de la Prévention routière et de cette opération Ville prudente ». Son chargé d’affaires aux collectivités, Anthony Rouillard était également présent pour la remise du diplôme. La ville entend bien poursuivre ses efforts pour gravir les échelons du label.
L’association les chevaliers de l’Oust en partenariat avec l’association vikings et chevaliers),a organisé ce week-end la première édition de « la médiévale du Loc’h », à l’étang de Lanouée. Un bel écrin pour poser un campement médiéval qui a attiré un flot continu de visiteurs dont certains avaient enfilé un tenue adéquate pour profiter pleinement de la fête. Barbares et gens de cours festoyants convivialement dans la bonne humeur : une plongée dans le passé, où chaque compagnie retraçait son histoire, ses faits mémorables abreuvés de quelques légendes ont apportés aux visiteurs une multitude d’indices sur les conditions de vie de leurs très trés grands aïeux. Les différentes animations programmées tout au long de la journée ont permis au gens de profiter pleinement du marché médiéval fantastique. Pour les organisateurs cette première est encourageante et pourrait être renouvelé dans le futur.
La commune de Sérent prend part à la mission d’Inventaire du patrimoine du PETR – Pays de Ploërmel lancée depuis début janvier en partenariat avec la région Bretagne. C’est un inventaire qui se veut participatif. Pour ce faire, la commune a mobilisé les bénévoles du groupe patrimoine, composé d’habitants passionnés par le sujet et dont les connaissances sont précieuses.
Comme beaucoup de communes, Sérent comporte sur son territoire de nombreux éléments de « petit patrimoine » tel que des lavoirs, fours, puits… dont le nombre, l’histoire et l’état de conservation actuel ne sont pas connus. A Sérent, le patrimoine mobilise les habitants depuis longtemps et aujourd’hui, toutes les conditions sont réunies pour permettre à la commune de réaliser son inventaire. • En 2011 et 2012, des habitants de Sérent ont réalisé un recensement photographique du petit patrimoine et des maisons anciennes des nombreux villages de Sérent. C’est un travail qui est aujourd’hui précieux pour faciliter la mission d’Inventaire actuelle. • Les croix et calvaire ont fait l’objet d’un recensement par un sérentais dans les années 90 à titre bénévole. • Anouk a été accueillie début mars en tant que stagiaire au service culture de la mairie de Sérent pour appuyer la coordination des actions d’inventaire sur Sérent. • L’équipe peut aussi compter sur le soutien et l’expertise de Baptiste Oligo chargé de l’inventaire pour le Pays de Ploërmel.
Le groupe patrimoine s’est rencontré plusieurs fois depuis début mars afin de coordonner les actions d’inventaire. Début avril, une session d’inventaire a été organisée dans le village de Bocquidet à Sérent en présence de Baptiste Oligo chargé de l’inventaire du Pays de Ploërmel. L’objectif était de mieux comprendre la méthodologie à appliquer pour recenser de la manière la plus complète le patrimoine. Depuis, les bénévoles ont choisi des villages selon leurs appétences. L’inventaire est lancé.
A la recherche de nouveaux bénévoles
La commune de Sérent comporte un patrimoine très riche réparti dans de nombreux villages. Les bénévoles déjà mobilisés sont motivés, il est cependant nécessaire pour continuer cette initiative de mobiliser de nouvelles personnes. C’est aussi un temps convivial de rencontre et d’échanges. Ces personnes peuvent habiter d’autres communes et il n’y a pas besoin d’avoir de connaissances spécifiques, mais une appétence pour le patrimoine rural. Tout au long de leurs sessions, les personnes peuvent être accompagnées par une agente du service culture.
La mairie de Sérent convie toutes les personnes curieuses de découvrir le déroulement d’un inventaire patrimonial à une session de repérage in situ dans le bourg de Sérent. Celle-ci se déroulera ce mercredi 14 mai à 10h à la mairie de Sérent. Céline Olivier, première adjointe au maire de Sérent, Laetitia Le Guen, adjointe à la culture, au tourisme et à l’animation, Baptiste Oligo chargé de l’inventaire du Pays de Ploërmel, les agents du service culture et les membres du groupe patrimoine seront présents.
En cas d’impossibilité de présence mercredi 14 mai, il est toujours possible de contacter le service culture de la mairie de Sérent.