À la fois épicentres de la mobilisation contre le dégel du corps électoral qui a dégénéré en émeute et premières victimes des destructions, les quartiers populaires de la capitale calédonienne peinent à se relever, un an après l’explosion de violences du 13 mai 2024.
Un an jour pour jour après le début des révoltes dans l’archipel, des rassemblements se sont tenus dans le calme mardi 13 mai en Nouvelle-Calédonie. Notamment à Saint-Louis, une tribu urbaine proche de Nouméa, où trois jeunes Kanak ont perdu la vie l’an dernier.