Une résolution demandant la libération de l’écrivain emprisonné en Algérie a été adoptée par les députés. La gauche a dénoncé les manœuvres, du centre à l’extrême droite, visant à utiliser l’affaire pour redéfinir les relations franco-algériennes.
Lors d’une audition au Sénat, le propriétaire et PDG de l’armateur a défendu l’avantage fiscal astronomique dont bénéficie son groupe et qui coûte des milliards à l’État. Une position difficile à tenir en ces temps de troubles budgétaires.