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Top albums France : Gims de retour à la 1ère place avec 11 000 ventes, Vald et Oboy dans le top 5

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Soir de Première avec Natalia de Froberville

Natalia de Froberville dans Don Quichotte

Photo David Herrero

Née à Perm en Russie, Natalia de Froberville étudie la danse à l’École du Ballet de l’Opéra national de Kiev en Ukraine, où elle est engagée une fois ses études terminées. Elle intègre ensuite en qualité de soliste le Ballet de l’Opéra national Tchaïkovski de Perm, puis, en septembre 2016, le Ballet du Capitole de Toulouse. Elle est nommée Étoile en octobre 2018. Elle dansera dans la version de Coppélia de Jean-Guillaume Bart, au Théâtre du Capitole.

Avez-vous le trac lors des soirs de première ?

Oui, bien sûr, surtout si je danse un nouveau rôle que je n’ai jamais interprété dans ma carrière de danseuse, comme Swanilda. L’excitation monte avant la représentation, mais dès que j’arrive sur scène, tout disparaît et j’essaie de profiter de chaque instant.

Comment passez-vous votre journée avant un soir de première ?

J’effectue ma dernière répétition, vérifiant principalement les parties les plus difficiles du ballet, afin d’être absolument sûre avant la première.

Avez-vous des habitudes avant d’entrer en scène ? Des superstitions ?

Le jour de la première, comme un jour normal, j’ai un cours le matin et une courte répétition ensuite, et je dois faire une petite sieste, ce qui me donne plus d’énergie. J’aime me faire plaisir avec un dessert. J’essaie de ne pas croire aux superstitions, car on en devient dépendant. Mais j’ai un petit rituel que j’ai répété tout au long de mes 22 ans de carrière : lorsque je mets mon costume, je m’assure d’y attacher une petite croix orthodoxe que mon professeur m’a donnée avant ma toute première performance. C’est un souvenir très précieux pour moi.

Première fois où vous vous êtes dit « Je veux faire ce métier » ?

Après mon premier succès sur scène. Non pas parce que j’ai été enchantée par l’enthousiasme du public, mais parce que, ce jour-là, j’ai vraiment vécu mon rôle sur scène, j’ai compris que je voulais faire ce métier pour le reste de ma vie.

Premier bide ?

Je ne m’en souviens pas.

Première ovation ?

Mon premier grand succès a été remporté lors du Concours international de ballet de Moscou en 2000, ce fut un événement marquant pour moi.

Premier fou rire ?

Il est impossible de rire sur scène, mais je le fais très souvent en studio, où se produisent les moments vraiment drôles.

Premières larmes en tant que spectatrice ?

Lorsque j’ai vu la scène de folie dans le ballet Giselle.

Première mise à nu ?

Dans le Pas de trois du ballet Casse-Noisette. J’étais alors âgée de 11 ans.

Première interview ?

Il est difficile de se souvenir de la première, mais la plus mémorable pour moi est une campagne publicitaire en Australie, où mon partenaire et moi-même avons été interviewés pendant une semaine dans différentes villes pour promouvoir notre tournée.

Premier coup de cœur ?

Mon chien Misha. Tout le reste est trop personnel.

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