[INTERVIEW] Regards croisés sur la médiation culturelle
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Qu’il s’agisse de résidence d’artistes en territoire, d’actions culturelles des festivals ou d’éducation artistique et culturelle, la DRAC Nouvelle-Aquitaine soutient des initiatives à certains endroits pour cet été.
Il s’agit d’intervention avec des artistes et professionnels de la culture pour des projets gratuits pour les participants montés en collaboration avec les structures d’accueil.
Retrouvez l’essentiel des informations de cet appel à projet 2025 sur la page dédiée du ministère en n’oubliant pas de filtrer par région pour avoir le document adéquat.
Suite à un appel à candidatures, lancé par le Centre national de la musique en association avec Wired Music Week, six artistes (auteurs, autrices, compositeurs, compositrices, topliners, producteurs et productrices de musique pop ou « urbaines ») ont été sélectionnés pour participer à un songwriting camp aux côtés de six artistes, auteurs/autrices-compositeurs/compositrices de la région de l’Asie du Sud-Est.
Vous souhaitez recevoir les informations et les ressources à l’international ? Toutes les semaines, le CNM vous informe des derniers appels à projets, de ses actions à l’étranger et de l’actualité des marchés internationaux.
Suite à un appel à candidatures, lancé par le Centre national de la musique en association avec Wired Music Week et avec le soutien de l’Ambassade de France à Singapour, de ONErpm, de l’Alliance française de Kuala Lumpur et de l’Ambassade de France en Malaisie, six artistes (auteurs, autrices, compositeurs, compositrices, topliners, producteurs et productrices de musique pop ou « urbaines ») ont été sélectionnés pour participer à un songwriting camp aux côtés de six artistes, auteurs, autrices, compositeurs, compositrices de la région de l’Asie du Sud-Est. Cette rencontre aura lieu du 29 avril au 5 mai dans les Maveriq Studios à Petaling Jaya.
Les artistes d’Asie du Sud-Est sélectionnés sont :
L’objectif de ces sessions est de générer des sorties commerciales, de favoriser les relations professionnelles entre les structures françaises et asiatiques, et d’aboutir à des collaborations créatives durables entre les auteurs, autrices, compositeurs, compositrices, producteurs et productrices français et internationaux.
Les indicateurs actuels montrent en effet que l’Asie deviendra le plus grand marché de la musique dans les dix prochaines années – l’Indonésie, les Philippines et la Thaïlande figurant parmi les 20 premiers pays au niveau mondial. Chaque marché local est en phase de croissance, en particulier dans l’espace numérique, et ces territoires progressent en termes d’expertise numérique, de monétisation et d’innovation en marketing.
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L’association Cluster37 et le Cepravoix s’associent pour recenser les besoins en formation des musiciens·ne·s intervenant·e·s en activité. Une dizaine de minutes vous seront requises pour recueillir les informations précieuses sur vos besoins en formation professionnelle.Et, cadeau au bout du questionnaire, vous connaitrez les dates des prochaines Journées Professionnelles organisées au CFMI de ToursRéponses demandées avant […]
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La Fédération Hiero vous propose de découvrir tous les modes de rémunération possibles pour un travail artistique.
Dans cette formation gratuite, on y décortique une fiche de paie, on regarde les conventions collectives, on regarde les aides à l’emploi et on répond à vos questions précises si vous en avez.
Cette formation se déroule dans les locaux de la Fédération Hiero, situés au 66 avenue de la Libération à Limoges, le lundi 5 mai de 16h00 à 19h00.
Pour s’inscrire, c’est ici !
Le syndicat général des affaires culturelles (SGAC-CGT) adhère à l’union des syndicats CGT des personnels des affaires culturelles (CGT-Culture) et, par son intermédiaire, à la fédération à laquelle la CGT-Culture est rattachée (UFSE-CGT).
Le siège du SGAC-CGT est situé Quadrilatère des Archives, (Bâtiment Boisgelin), 1 rue des quatre fils, 75003 PARIS, dans les locaux de la CGT-Culture.
Peuvent adhérer au SGAC-CGT tous les personnels des administrations, des établissements publics et des organismes de droit privé remplissant des missions de service public culturel de l’État sur le territoire national qui ne relèvent pas du champ de syndicalisation d’un autre syndicat CGT. Cette adhésion suppose l’acceptation des statuts de la CGT et de ses organisations.
Peuvent adhérer au SGAC-CGT toutes et tous les retraités ayant exercé leurs fonctions au sein des administrations, des établissements publics et des organismes de droit privé remplissant des missions de service public culturel de l’État sur le territoire, même si elles ou ils relevaient du champ de syndicalisation d’un autre syndicat CGT durant leur période d’activité.
Le SGAC-CGT définit lors de ses congrès ses objectifs et orientations, en recherchant en permanence avec la CGT-Culture la coopération, la complémentarité et la prise en compte des intérêts communs de l’ensemble des personnels.
Le SGAC-CGT comprend des sections syndicales dont l’activité est définie librement par les adhérentes et adhérents qui se réunissent a minima une fois par an en assemblée générale. L’assemblée générale élit un bureau de section et, en son sein, une ou un secrétaire de section.
L’activité syndicale des retraité.es est organisée au sein d’une section Retraité.es sur décision majoritaire des adhérentes et adhérents qui la composent, dûment convoqués en assemblée générale. Chaque section peut décider de se constituer en syndicat de la CGT-Culture hormis celle des Retraité.es, conformément aux statuts de l’Union confédérale des retraités (UCR) à laquelle elle est rattachée.
Le SGAC-CGT tient son congrès tous les trois ans. Le congrès se prononce sur l’activité syndicale et financière, et définit les orientations fondamentales du syndicat.
Chaque structure est représentée par au moins une ou un délégué.
Le congrès élit des membres de la commission exécutive.
Le congrès élit, parmi les membres de la commission exécutive, un secrétariat national composé de :
Le congrès élit une commission financière de contrôle de trois membres. Les membres de la commission financière de contrôle assistent à la commission exécutive sans avoir voix délibérative.
Le SGAC-CGT est administré par une commission exécutive composée des membres élus par le congrès. Les candidat.es doivent être adhérent.es depuis au moins six mois à la CGT et à jour de leurs cotisations. Pour être élu.e, chaque candidate et candidat doit réunir au moins 50% des suffrages exprimés.
Pour favoriser un équilibre entre les différentes sections et secteurs du SGAC-CGT au sein de la commission exécutive, les sections et sites de moins de 15 (quinze) adhérent.es proposent jusqu’à 3 (trois) membres. Les sections de plus de 15 (quinze) adhérent.es respectent le quota d’une ou un camarade par tranche entamée de cinq (5) syndiqué.es maximum.
Entre deux congrès, la commission exécutive peut procéder à la cooptation de nouveaux membres. Ce vote se fait à la majorité des ¾ des votantes et votants.
La commission exécutive se réunit au moins trois fois par an et tant que de besoin sur convocation du secrétariat national ou à la demande d’une des sections du SGAC-CGT. Outre les séances plénières, le secrétariat national peut convoquer des commissions de travail thématiques de la commission exécutive. Entre deux congrès, la commission exécutive peut modifier tout ou partie de la composition du secrétariat national.
Chaque année elle approuve les comptes du syndicat.
Elle est chargée de la vérification de la comptabilité et du contrôle des opérations financières du SGAC-CGT et remet un rapport annuel sur les comptes à la commission exécutive.
La commission financière de contrôle assiste à toutes les réunions de la commission exécutive mais ne prend pas part aux votes. Elle élit en son sein une ou un président. Elle se réunit au moins une fois par an.
Il assure le fonctionnement régulier du syndicat. Il convoque les réunions plénières et thématiques de la commission exécutive. Il répond de son activité à la commission exécutive. Chaque année il arrête les comptes du syndicat.
Elle ou il est responsable de la mise en œuvre de la politique financière du syndicat.
Il est composé d’une ou un secrétaire général et si besoin d’une ou un secrétaire général adjoint.
Elle ou il peut être remplacé par un membre désigné du secrétariat national.
La ou le secrétaire général et son adjointe ou adjoint représentent le SGAC dans tous ses actes et dans toutes les institutions et activités relevant de son domaine d’intervention, sous couvert de la commission exécutive.
Les ressources du SGAC-CGT sont constituées :
Les ressources du SGAC-CGT sont déposées sur le compte courant qui est géré par la trésorière ou le trésorier élu par le congrès ou par la commission exécutive.
Les opérations financières ne peuvent être effectuées qu’avec la signature :
Les statuts ne peuvent être modifiés qu’en congrès sur proposition de la commission exécutive ou de sections représentant le tiers des adhérentes et adhérents. Pour être retenues, les modifications doivent être adoptées par les trois-quarts (3/4) des voix dont disposent les délégué.es.
La dissolution du SGAC-CGT ne peut être prononcée que par décision d’un congrès extraordinaire à la majorité des deux-tiers (2/3) des voix. Dans ce cas l’actif sera dévolu à la CGT-Culture.
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Les 8, 9 et 10 août, un·e DJ aura la possibilité de rejoindre la programmation des Plages Electroniques de Cannes, parmi des artistes tels que Bellaire, Booba, Charlotte de Witte, etc.
Pour postuler à ce tremplin, il est nécessaire de déposer sur la plateforme RIFFX, avant le 27 mai 2025 :
Les sets déposés seront ensuite soumis à un vote du public, sachant qu’un jury composé de la direction de programmation des Plages Electroniques choisira le ou la lauréat·e parmi les participant·e·s et en priorité, parmi les 20 ayant obtenu le plus de votes.
Pour + d’infos et pour participer, c’est ici !
Lundi 26 mai 2025 – 15h
au Théâtre des Feuillants à Dijon
Comme l’ensemble des secteurs d’activité, le secteur culturel doit s’adapter à la trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre fixée par la stratégie nationale bas-carbone avant 2050.
Mais comment mettre en œuvre la transition vers une économie bas-carbone, plus durable, dans le spectacle vivant ? En quoi la création artistique peut-elle participer à la transformation de nos pratiques ?
En 2024, un financement du ministère de la Culture a permis au réseau des Centres dramatiques nationaux, lieux de création dirigés par des artistes, ainsi qu’à un panel d’équipes artistiques, de réaliser leurs « référentiels carbone » : quels sont les principaux enseignements que l’on peut retirer de ces deux référentiels ?
En quoi leur mise en perspective permet-elle d’envisager des pistes d’action ?
Si la question de la transition artistique, écologique et sociétale est désormais au cœur des préoccupations de l’ensemble des acteurs du spectacle vivant, comment peut-on transformer les modalités de production et de diffusion de spectacle tout en préservant un écosystème qui favorise aussi la diversité et la liberté de création ?
Une rencontre organisée par l’Association des Centres dramatiques nationaux (ACDN) en partenariat avec le Théâtre Dijon Bourgogne, Centre dramatique national
Intervenant·es
Maëlle Poésy, directrice du Théâtre Dijon Bourgogne, Centre dramatique national
David Geselson et Noura Sairour, Compagnie Lieux Dits
Représentant·es de la Mission Transformation écologique de la création et Délégation au théâtre de la DGCA, Ministère de la Culture
Emmanuelle Queyroy, secrétaire générale de l’Association des Centres dramatiques nationaux
Et plus à venir…
Informations pratiques
📍 Lundi 26 mai 2025 à 15h – Théâtre des Feuillants (9 Rue Condorcet, 21000 Dijon)
📝 Réservations par courriel à resapro@tdb-cdn.com ou par téléphone au 06 72 91 57 57
Le festival Palazzetto Bru Zane 2025 se tientdra du 24 mai au 2 juillet 2025 dans plusieurs salles parisiennes.
En grande partie consacré aux pages plus rares de Georges Bizet, le festival présente à partir du 24 mai les deux œuvres l’Arlésienne et le Docteur Miracle au Théâtre du Châtelet.L’Arlésienne est inspirée du texte d’Alphonse Daudet adapté pour la scène avec chœur, orchestre et récitant. Le Docteur Miracle, composé à 20 ans par Bizet, est un opéra-comique où tout le talent comique de Bizet se révèle. Mis en scène, conçu et joué par Pierre Lebon avec Marc Mauillon, Héloïse Mas, Dima Bawab, Thomas Dolié, Eddie Chignara, Aurélien Bednarek, Iris Florentiny dirigés par Sora Elisabeth Lee.
Reinoud van Mechelen interprètera des mélodies peu connues de Bizet, Liszt, Viardot, Lassen le 10 juin à la Philharmonie de Paris, accompagné d’Anthony Romaniuk au piano.
L’Insula Orchestra et Laurence Equilbey donneront des pièces symphoniques de Bizet, Massenet, et Dubois à la Seine Musicale le 14 juin avec Victor Julien-Laferrière dans l’Andante Cantabilede Dubois.
L’Orchestre national de France, dirigé par Bertrand de Billy, jouera la symphonie en ut de Bizet et des airs des Pêcheurs de perles avec John Osborn et Alexandre Duhamel parmi d’autres pages d’Ambroise Thomas et de Verdi le 2 juillet à l’Auditorium de Radio France.
Ensuite, Cello Fantaisie, un concert autour d’œuvres pour violoncelle se tiendra à la Cité de la Musique le 11 juin avec Edgar Moreau, Anne Gastinel, Xavier Phillips, Lila Beauchard, Leonardo Capezzali, Mana Inagaki et Krysztof Michalski dans des œuvres de Battanchon, de la Tombelle, Erb, Franchomme, Offenbach, D’Ollone, Schmitt.
Enfin, l’Opéra-Comique présentera le Faust de Gounod dans sa version d’origine de 1859, du 21 juin au 1er juillet, avec l’Orchestre national de Lille et le Chœur de l’Opéra de Lille, dirigé par Louis Langrée dans une mise en scène de Denis Podalydès, les décors d’Eric Ruf, les costumes de Christian Lacroix. Avec Vanina Santoni, Julian Dran, Jérôme Boutillier, Lionel Lhote, Juliette Mey, Marie Lenormand, Anas Séguin et Léo Raynaud.
La production sera donnée auparavant à l’Opéra de Lille du 5 au 22 mai.
Cette version avait été déjà donnée en concert en juin 2019 au Théâtre des Champs-Elysées et enregistrée dans la collection Opéra Français du Palazzetto Bru Zane.
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L’Ombre est un spectacle vivant et augmenté, un projet novateur et ambitieux entremêlant danse, musique live et électronique, réalité mixte, vidéo, lumière et immersion sonore avec l’apport des technologies de pointe de l’Ircam.
Le conte emblématique L’Ombre de Hans Christian Andersen est l’inspiration de ce spectacle : un savant offre à son ombre la possibilité de prendre vie et autonomie, pour se libérer et finalement reléguer l’humain dans l’obscurité. La résonance évidente avec notre monde contemporain et ses innovations, si troublantes et si fascinantes, ont conduit la chorégraphe Blanca Li et la compositrice Édith Canat de Chizy à imaginer ce spectacle hybride. Face aux danseurs et à un percussionniste, et équipé d’un casque de réalité mixte, le public déambule dans un univers fantastique, où le tangible et la perception virtuelle se confondent.
L’Ombre – création 2025
Inspiré par le conte de Hans Christian AndersenBlanca Li direction artistique et chorégraphie
Édith Canat de Chizy musique originale, commande de l’Ircam-Centre Pompidou
Vincent Chazal direction visuelle
Charles Carcopino projections vidéo
Pascal Laajili lumières
Laurent Mercier costumes
Arthur Bechet, Florent Jodelet percussions (en alternance)
Danseurs de la compagnie de Blanca Li
Victor Bigand, Matéo Fayet, Serge Lemouton réalisation informatique musicale Ircam
Clément Cerles, Koré Préaud diffusion sonore Ircam23 mai 2025 au 13 juin 2025
Ircam dans le cadre du festival Manifeste
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Le champ de syndicalisation du SGAC est très divers par nature. Il concerne autant la lecture publique que l’administration centrale, l’enseignement supérieur, l’art contemporain, la restauration patrimoniale, la documentation, la recherche, le livre, le soutien à la création cinématographique et sa diffusion. En outre, les retraité.es s’organisent syndicalement au sein de leur section.
Le syndicat général des affaires culturelles (SGAC-CGT) adhère à l’union des syndicats CGT des personnels des affaires culturelles (CGT-Culture) et par son intermédiaire à la fédération à laquelle la CCGT-Culture est rattachée (UFSE-CGT).
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Le 1er mai, journée internationale de lutte des travailleurs et des travailleuses, a cette année un sens particulier.
Alors que les guerres se propagent pour les profits de quelques-uns, les syndicats appellent partout sur la planète les salarié·es à manifester pour défendre la paix juste et durable, c’est-à-dire non pas aux conditions des agresseurs mais dans le respect du droit international.
Après les drames de centaines de milliers de morts, notamment en Ukraine et en Palestine, le droit des peuples doit être urgemment appliqué. Il en va de notre humanité.
Trump et ses alliés milliardaires attaquent le droit à l’avortement, à l’éducation ou encore l’aide au développement. Défendons une société démocratique et de justice sociale.
Racisme, antisémitisme, discriminations : partout le poison de la division progresse, instrumentalisé, voire organisé par l’extrême droite et les médias des milliardaires.
Dans de nombreuses entreprises, avec la CGT, les salarié·es revendiquent, se mobilisent et obtiennent des augmentations de salaire. Plutôt que des primes occasionnelles non-cotisées, négocier des augmentations de salaire brut, c’est + de cotisations sociales et donc de meilleures pensions de retraites, et c’est aussi + de salaire net pour vivre dignement de son travail.
La retraite à 64 ans, les Français·es n’en veulent pas : 68 % des Français sont favorables à l’organisation d’un référendum sur cette question, et 65 % des français voteraient pour l’abrogation.
Défendons notre système par répartition solide et solidaire !
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