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En proie à une crise démographique, la Russie prête à tout pour relancer sa natalité

Restriction de l’avortement et du divorce, promotion des « valeurs traditionnelles »… Confronté à une chute de sa natalité sans précédent, le Kremlin a lancé une des campagnes natalistes les plus intenses de son histoire. Mais ce virage conservateur, qui s’effectue en marge de la guerre en Ukraine, ne s’attaque pas aux causes réelles de l’effondrement démographique.

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Vous passez toute la journée assis au travail? Voici six astuces pour éviter d’y laisser votre santé

Nous passons en moyenne 7 heures et 26 minutes par jour en position assise, d’après l’association Attitude Prévention. Or une station assise prolongée a des effets délétères sur la santé : compression des disques de la colonne vertébrale, douleurs dans les muscles du dos, de la nuque et des épaules, ralentissement de la circulation sanguine… Il existe pourtant des astuces pour éviter tout cela.

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UFC 315. Qui est Kyle Prepolec, l’adversaire surprise de Benoit Saint Denis ?

Alors qu’il s’était envolé vers Montréal pour affronter Joel Álvarez, Benoît Saint Denis défiera finalement Kyle Prepolec dans la nuit de samedi à dimanche lors de l’UFC 315, au Canada. Un adversaire inattendu et méconnu du grand public à ne surtout pas sous-estimer. Voici tout ce qu’il faut savoir sur celui que l’on surnomme le « Kill Shot ».

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Lyon - Dijon. À quelle heure et sur quelle chaîne suivre la demi-finale de Première Ligue ?

L’équipe féminine de l’OL reçoit Dijon en demi-finale de Première Ligue, dimanche 11 mai (15h15). Éliminées en Ligue des champions, les Lyonnaises veulent à tout prix conserver leur titre domestique pour sauver leur saison mais attention aux Dijonnaises, surprises de la saison régulière. Horaire, chaîne TV… Voici tout ce qu’il faut savoir pour suivre la demi-finale entre Lyon et Dijon.

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MMA. « Salahdine reste le petit garçon que j’ai vu débarquer » : Parnasse - Atch, l’entretien croisé

Double champion du KSW, Salahdine Parnasse défendra sa ceinture des moins de 70 kg samedi 10 mai à la LDLC Arena de Lyon face au Polonais Marian Ziolkowski. Comme depuis le début de sa carrière, il pourra compter sur son mentor Stéphane « Atch » Chaufourier, présent dans son coin. De la Atch Academy d’Aubervilliers à la meilleure organisation de MMA européenne, le duo ne s’est jamais quitté. Entretien croisé.

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Test Clair Obscur : Expédition 33, bouleversant chef-d’œuvre français, déjà monument du jeu vidéo

Le petit studio français Sandfall Interactive, fondé en 2020 à Montpellier, vient de sortir son premier jeu : Clair Obscur : Expédition 33. Incroyable coup de maître inspiré par des sagas comme Final Fantasy ou Persona, le titre impose son style, aussi bien dans son esthétique que dans ses mécaniques. On a essayé ce chef-d’œuvre, et on a eu du mal à s’en décrocher.

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FC Barcelone - Real Madrid. Un Clasico capital à plus d’un titre pour Mbappé et les Merengue

Le Clasico de ce dimanche 11 mai (16 h 15) vaudra très cher dans la course au titre en Liga. Le FC Barcelone (1er, 79 pts) pourrait largement distancer le Real Madrid (2e, 75 pts), à l’issue de la rencontre, alors que dans le même temps Robert Lewandowski et Kylian Mbappé tenteront de marquer pour essayer de finir la saison avec le trophée Pichichi du meilleur buteur du championnat.

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Handball. Nantes HF : « On ne lâchera rien jusqu’au bout », assure Orlane Ahanda

Meurtries par leur défaite à domicile face au leader havrais (24-25), le 25 avril, plongées dans l’incompréhension après la sévère déconvenue auvergnate (22-20), le 30 avril, Orlane Ahanda et sa troupe retrouvent Mangin, ce samedi 10 mai (20 h), et une équipe de Bouillargues (Gard) réputée pour son caractère aussi combatif que ses homologues masculins de l’USAM. Une volonté tout aussi forte chez les protégées de Comte pour raccrocher la deuxième place.

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Griller son pain avec ses mollets, c’est possible ?

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Dans ce nouvel épisode du podcast Notre territoire en vie, on pédale fort… mais pas assez pour toaster une tartine ! Vélo connecté, énergies renouvelables, et anecdotes décoiffantes : les invité·e·s du Conseil de développement du Pays des Vallons de Vilaine s’emballent autour d’un sujet brûlant – mais pas trop : comment produire de l’énergie autrement, localement ?

Un moment convivial, vivant, et surtout utile pour comprendre les enjeux près de chez vous. Enfilez vos écouteurs et vos cuissards, c’est parti ...
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Compétitions cherchent combattantes... Pourquoi le MMA peine encore à séduire les femmes

Dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 mai 2025, à Montréal, Manon Fiorot peut devenir la première athlète française, hommes et femmes confondues, à remporter une ceinture à l’UFC. Un tel moment mettrait en avant la pratique féminine du MMA. Car depuis la légalisation en 2020, la discipline peine à séduire les femmes, même si des initiatives se sont développées avec succès bien avant la popularisation des arts martiaux mixtes.

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« Je le fais surtout pour les familles » : elle maquille les morts pour mieux apaiser les vivants

Chaque samedi, Ouest-France présente un métier. Ce 10 mai 2025, on retrouve Lucie Pelourdeau dans la chambre mortuaire d’un hôpital rennais : la jeune femme de 32 ans est thanatopractrice. Une vieille dame de 82 ans est décédée ce matin. Après la partie technique, pour la conservation du corps, Lucie s’attaque à la toilette mortuaire.

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UFC 315. Comment Benoît Saint Denis s’est préparé mentalement après sa violente défaite à Paris

Après sa violente défaite contre Renato Moicano en septembre 2024 à Paris, Benoît Saint Denis remonte dans l’octogone dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 mai à l’UFC 315 de Montréal pour affronter le local Kyle Prepolec. De son échec à Paris jusqu’au Canada, le combattant français de 29 ans a fait un long travail psychologique avant de renfiler les mitaines et tenter de renouer avec la victoire.

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Ploërmel. Pour Patrick Le Diffon, Bruno Retailleau c’est le « vrai chef » dont Les Républicains ont besoin

Politique migratoire, ruralité, déficit abyssal de la France, éducation familiale et scolaire, ultra violence juvénile… Pendant une heure et demi, Bruno Retailleau, qui avait troqué sa casquette de ministre de l’intérieur contre celle de candidat à la présidence du parti Les Républicains a décliné sa vision de la France. Un discours qui a enflammé les quelques 500 sympathisants rassemblés à la salle des fêtes de Ploërmel où se tenait une réunion politique dont Bruno Retailleau était la vedette. Deuxième meeting politique de ce dernier dans la journée qu’il avait calé entre deux déplacements ministériels dans le Finistère et le Morbihan. Bruno Retailleau a utilisé des formules chocs pour dépeindre la situation politique de la France et prôné des mesures énergiques pour redresser le pays.

Un discours qui s’adressait à un public beaucoup plus large que les seuls militants LR et qui a séduit le maire de Ploërmel, Patrick Le Diffon. Dans un entretien qu’il nous a accordé, celui-ci a confirmé son soutien « plein et entier » à Bruno Retailleau. Pour lui, c’est le « vrai chef », le général dont les Républicains ont besoin. Le maire de Ploërmel parait même soulagé de cet élan qui semble porter son parti, tombé très bas dans le vote des Français. Et pour lui, il ne fait aucun doute que Bruno Retailleau est le candidat idéal des Républicains pour l’élection présidentielle. Ecoutez sa réaction dans notre vidéo.

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RÉCIT. Le 8 mai 1945, enfin le souffle de la victoire

La une du 8 mai 1945 et de la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie compte parmi les pages historiques d’Ouest-France. Les jours qui précèdent cette délivrance sont racontés, presque heure par heure, par le journal.

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Ligue des champions. Pourquoi l’Eintracht Francfort supportera le PSG en finale face à l’Inter Milan

Le PSG défiera l’Inter Milan en finale de la Ligue des champions le 31 mai 2025. S’ils seront nombreux à supporter le club de la capitale, une équipe inattendue soutiendra également les hommes de Luis Enrique. En effet, l’Eintracht Francfort, pensionnaire du championnat allemand, aurait tout intérêt à voir Paris gagner, financièrement parlant.

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Une « dégradation » des eaux de baignade en 2025 ? L’ARS juge trompeur le nouveau classement d’Eau et Rivières de Bretagne

L’association Eau et Rivières de Bretagne a dévoilé, début avril, son classement 2025 de la qualité des eaux de baignade en France. Elle note une « dégradation globale » par rapport à 2024. L’ARS Bretagne estime que ce classement « ne doit en aucun cas être considéré comme valide ».

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Qui furent les vrais collabos en Bretagne en 39-45 ?

Des collabos en Bretagne.
A l’occasion des commémorations du 08 Mai 1945, quatre-vingt ans après la signature de l’acte de capitulation nazie à Berlin devant les dirigeants français, américains, britanniques et soviétiques; revenons sur les faits de collaboration en Bretagne durant cette période.

Arrestations et déportations en Bretagne : le rôle clé des autorités françaises

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Bretagne n’a pas échappé à la répression nazie. Mais contrairement à une idée répandue, cette répression n’a pas été orchestrée uniquement par les Allemands. En réalité, les administrations françaises, la police, la gendarmerie, les préfectures et la Milice ont joué un rôle central dans les arrestations qui ont mené à la déportation de milliers de personnes. Cette complicité directe, active et souvent zélée a concerné l’ensemble des cinq départements bretons : Loire-Atlantique, Ille-et-Vilaine, Finistère, Morbihan et Côtes-d’Armor.

4 000 déportés bretons, victimes des collabos en Bretagne.

Entre 1940 et 1944, environ 4 000 personnes ont été déportées depuis la Bretagne vers les camps nazis.
Parmi elles, on compte près de 500 femmes et une cinquantaine d’enfants. Environ 1 850 d’entre elles n’ont jamais pu revenir. Les victimes étaient de profils divers : résistants, opposants politiques, syndicalistes, otages, mais aussi 462 Juifs, raflés puis envoyés vers Auschwitz ou Drancy.

Ces chiffres, bien qu’effrayants, ne sont pas qu’un rappel historique. Ils montrent l’ampleur de la participation française en Bretagne à la machine de déportation. Car sans la collaboration active des services français, ces arrestations n’auraient jamais été aussi efficaces.

La police française : bras armé de la collaboration en Bretagne

Dans toute la Bretagne, les rafles et les arrestations ont été majoritairement effectuées par la police française et la gendarmerie. Les forces d’occupation nazies s’appuyaient sur l’appareil administratif de Vichy pour traquer les Juifs et les résistants.

Qui furent les vrais collabos en Bretagne ?

Les commissariats, les brigades de gendarmerie, les préfectures, mais aussi les services des Renseignements généraux, ont participé aux enquêtes, aux perquisitions, aux transferts de prisonniers. Les rafles n’étaient pas improvisées : elles étaient planifiées, administrées, coordonnées par des Français.

Les collabos en Bretagne, département par département.

Loire-Atlantique : une administration zélée

En Loire-Atlantique, dans le sud du pays, 236 Juifs ont été arrêtés puis déportés entre 1941 et 1944. La quasi-totalité d’entre eux a été exterminée. Les autorités préfectorales de Nantes / Naoned, totalement soumises à la politique antisémite de Vichy, ont dressé les listes. La police locale a arrêté hommes, femmes et enfants. À Saint Nazaire / Sant Nazer , plusieurs familles juives ont été livrées à la Gestapo par les gendarmes eux-mêmes.

Les résistants locaux, notamment les cheminots, les enseignants, les syndicalistes, ont également été visés. Là encore, les premières arrestations ont été effectuées par des Français. Les Allemands n’intervenaient souvent qu’au moment de l’interrogatoire ou de la déportation.

Ille-et-Vilaine : les rafles de Rennes / Roazhon/ Roazhon

Dans le département d’Ille-et-Vilaine, 128 Juifs ont été raflés, notamment lors des grandes opérations de 1942. À Rennes / Roazhon, la police française a mené l’essentiel des arrestations. La préfecture transmettait directement les noms, issus des fichiers de recensement. Les agents arrêtaient les personnes à domicile, y compris les enfants.

Mais les résistants n’étaient pas épargnés. Les réseaux gaullistes, FTP et Libé-Nord ont payé un lourd tribut. Là encore, la gendarmerie locale a souvent coopéré, livrant ses prisonniers à la Gestapo ou aux services de la Feldgendarmerie.

Finistère : moins de Juifs, mais de nombreux résistants

Dans le Finistère, la population juive était peu nombreuse. Toutefois, plusieurs familles ont été arrêtées à Brest, Kemper et Douarnenez. Les arrestations ont été menées par les gendarmes, sur ordre de la préfecture. Les services français se sont chargés de toutes les étapes : perquisitions, transferts, fichage.

Mais c’est surtout la Résistance finistérienne qui a été lourdement touchée. Les arrestations dans les réseaux de Brest, dans le pays bigouden ou dans les monts d’Arrée, ont été facilitées par la collaboration d’agents français avec la Gestapo. Des dénonciations locales, souvent suivies d’arrestations par la police, ont mené à des exécutions ou à des déportations.

Morbihan : terre de résistance et de répression

Le Morbihan a compté 643 déportés, en grande majorité des résistants. Le département a été un haut lieu de l’action des FTPF et du réseau Alliance. Mais cette résistance bretonne a aussi entraîné une répression brutale. La police française et la gendarmerie ont arrêté de nombreux maquisards bretons, parfois après avoir infiltré les réseaux.

Concernant les Juifs, 50 personnes ont été arrêtées et déportées. Seules quatre ont survécu. Là encore, les arrestations ont été faites par la gendarmerie, parfois avec la complicité de certaines municipalités.

Côtes-d’Armor : le rôle des gendarmes

Dans les Côtes-d’Armor, peu de Juifs vivaient de manière stable.
Mais la répression contre les résistants a été intense, notamment dans les zones rurales et sur la côte. Les brigades de gendarmerie, souvent bien implantées localement, ont mené de nombreuses arrestations de militants, de saboteurs ou de porteurs de tracts.

Des transferts vers Rennes / Roazhon, où la Gestapo centralisait les interrogatoires, étaient organisés par les autorités françaises elles-mêmes. Des dizaines de résistants des Côtes-d’Armor ont fini dans les camps, victimes d’une chaîne de répression largement orchestrée par Vichy.

Une mémoire encore trop floue

Malgré ces faits établis, la mémoire collective a longtemps minimisé le rôle actif des autorités françaises.
Le récit dominant opposait Français résistants et nazis occupants. Or, la réalité bretonne – comme ailleurs dans l’Hexagone – est bien plus complexe.

Les arrestations en Bretagne ont été routinières, administratives, efficaces.
Elles ont été rendues possibles par la coopération des services français avec les nazis. Par choix, par opportunisme, par soumission ou par conviction, des milliers de fonctionnaires ont contribué à cette machine de mort.

collabos bretons
Oui les Bretons ont collaboré … avec le Général de Gaulle, contre le pouvoir central collabo pro-nazi de Pétain, de sa police, de ses ministres … tous drappés dans une banderole tricolore

Le rôle démesuré d’une poignée de nationalistes bretons

En Bretagne, le roman national français s’en empressé dès la fin de la guerre de mettre en exergue la collaboration, parfois très active, de quelques dizaines de nationalistes bretons. Oui, ces collabos bretons ont existé. Mais leur rôle odieux fut tellement minime par rapport au rôle des autorités françaises de l’époque en Bretagne.
On parle d’environ quatre-vingt Bretons nationalistes contre 5000 à 10000 Français collabos en Bretagne.
Le pouvoir central d’alors appliqua une méthode vieille comme le monde, qui consiste à montrer l’arbre pour cacher la forêt. Ce que d’autres nomment un « hochet ».
Nous ne défendons pas ici l’indéfendable, mais souhaitons simplement remettre en ordre les vraies responsabilités dans la collaboration avec les nazis en Bretagne durant la dernière guerre mondiale.

Ne pas oublier, jamais

Aujourd’hui, de nombreux historiens bretons, associations mémorielles et enseignants œuvrent pour transmettre cette réalité historique sans filtre. Car comprendre ce qu’il s’est réellement passé, c’est empêcher que cela se reproduise.

Dans les cinq départements bretons, les responsabilités françaises dans la déportation ne peuvent plus être ignorées. Rendre hommage aux victimes, c’est aussi regarder en face les complicités de l’époque.

Qui furent les vrais collabos en Bretagne en 39/45 ?

Nos sources :

Association Les Amis de la Résistance du Morbihan • Détail sur les 643 déportés du Morbihan, leur profil, les arrestations, et les survivants. • lesamisdelaresistance56.com
Arbre d’Erlen – Carnets d’histoire en Bretagne (projet universitaire Hypothèses.org) • Informations détaillées sur les arrestations de Juifs à Rennes / Roazhon • arbrezel.hypotheses.org
Unidivers.fr – Hommage aux déportés juifs bretons • Chiffres sur les 462 Juifs déportés de Bretagne. • unidivers.fr
La Baule – Maville.com • Cérémonies en mémoire des Juifs de Loire-Atlantique. Chiffres : 236 déportés, 99 % exterminés. • labaule.maville.com

ainsi que :

Travaux de Serge Klarsfeld • Notamment ses listes nominatives des déportés juifs de France, une référence sur les rafles et la collaboration policière.
“La police de Vichy” – Maurice Rajsfus • Ouvrage fondamental sur le rôle de la police française dans les arrestations de Juifs.
“La Déportation des Juifs de France” – Michel Laffitte, CNRS Éditions • Étude sur la participation des préfectures, gendarmerie et services français dans la Shoah.

    Photo header : prestation de serment d’agents de police au palais de Chaillot, Paris, France, janvier 194, agence Roger Viollet

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