Il l’a annoncé dans un entretien accordé à un journal d’extrême droite: le premier ministre aimerait demander au peuple de trancher la question de la réduction des déficits publics, persuadé que sa vision austéritaire du budget est la seule qui vaille.
En annonçant une augmentation de sa production dans un marché pétrolier déprimé, le cartel des pays producteurs semble ajouter du désordre au chaos général. Mais n’est-ce pas plutôt un signal dans un monde en pleine transformation?
Le ministre de l’intérieur a présenté un nouveau texte, lundi 5 mai au matin, à la préfecture du Val-de-Marne, à Créteil. Sous couvert de fermeté, il a vanté des mesures visant à promouvoir l’«assimilation», mais celles-ci n’ont en réalité rien de nouveau.
Après la campagne présidentielle de 2017, François Fillon devait personnellement payer plus de 50 000 euros non remboursés par l’État. Cinq ans plus tard, Bruno Retailleau s’est démené auprès du parti Les Républicains et la dette de son ami a été épongée.
Le président de la République veut accueillir les cerveaux américains, martyrisés par l’administration Trump. Mais sa peinture de la France en paradis de la recherche et des libertés académiques ne passe pas.