Le centre hospitalier de Redon-Carentoir annonce ce jeudi plusieurs recrutements, expliquant « poursuivre son engagement pour offrir une prise en charge de qualité aux patients du territoire en accueillant de nouveaux médecins au sein de ses services ». Ces recrutements, explique l’établissement, permettent de renforcer plusieurs spécialités clés et d’élargir l’offre de soins. Le centre hospitalier de Redon-Carentoir se réjouit « d’accueillir ces nouveaux praticiens et de renforcer son offre de soins sur le territoire. Ces recrutements s’inscrivent dans une dynamique d’attractivité médicale et de développement des spécialités hospitalières, au service des patients ».

Dr Elyazid Tigrine, gériatre
Présent à temps plein depuis le 9 septembre 2024, il a intégré le pôle gériatrie et le service de court séjour gériatrique (CSG). Formé en oncogériatrie, il apporte son expertise aux patients âgés nécessitant une prise en charge spécialisée.
Dr Benjamin Thoreux, praticien en Médecine Physique et Réadaptation (MPR)
Présent depuis le 1er octobre 2024, il exerce en temps partagé avec le CHU de Rennes (30%). Il assure les consultations externes au CHIRC tous les lundis et jeudis des semaines paires. Il vient compléter l’activité du Dr Blanchard qui intervient sur le secteur d’hospitalisation.
Dr Nathalie Journeaux, médecin vasculaire
Arrivée le 4 novembre 2024, elle est présente du mardi au jeudi (60%) et assure des consultations en médecine vasculaire, diagnostics et suivis.
Dr Vermot-Gaud, psychiatre
Arrivé au CHIRC le 21 novembre 2024, il exerce à 50% au sein du Centre Médico-Psychologique (CMP). Il assure la prise en charge des patients en proposant des consultations psychiatriques, des suivis réguliers et un accompagnement adapté aux besoins de chacun.
Dr Dehia Azem-Kadous, gynécologue-obstétricienne
En poste depuis le 6 janvier 2025, elle intervient à temps plein pour assurer le suivi des patientes en
gynécologie et obstétrique. Lauréate des EVC 2019, elle a exercé dans plusieurs établissements en région parisienne et en Occitanie avant de rejoindre le CHIRC.
Dr Julien Devilleger, cardiologue
Arrivé le 3 février 2025, il exerce à temps plein au sein du CHIRC. Il assure les consultations interservices
ainsi que l’activité externe en cardiologie.
Dr Mathieu Defontaine, médecin en soins palliatifs
Arrivé au CHIRC le 17 mars 2025, il exerce à hauteur de 80% au sein de l’établissement. Médecin
généraliste spécialisé en soins palliatifs, il a intégré le service de l’Équipe Mobile d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (EMASP). Son rôle est d’accompagner les patients et leurs proches dans une prise en charge globale et adaptée à leurs besoins. Il contribue également à la structuration de la filière de soins palliatifs et à l’ouverture prochaine de l’hôpital de jour dédié, renforçant ainsi l’offre de soins sur le territoire.

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C’est un geste vraiment symbolique puisque le Patio, le futur centre culturel du Val d’Oust, est déjà bien sorti de terre. Mais la pose de la première pierre, ce jeudi à la mi-journée, de ce projet phare du mandat de la municipalité dirigée par Florence Prunet a été l’occasion pour cette dernière d’en retracer les grandes étapes. Les travaux qui ont débuté récemment, avancent à pas de géant. A la place de l’ancien presbytère démoli pour l’occasion, l’infrastructure du bâtiment s’élève. Jusqu’alors les délais sont parfaitement respectés et le centre culturel devrait être terminé dans les temps, c’est à dire au 1er trimestre 2026…

C’est en 2021 que le projet a été lancé. Il a donné lieu à un important travail de réflexion dans lequel les élu(e)s se sont fortement impliqués. Mais les habitants ont également été associés à cette phase préparatoire lors de réunions publiques. Et au final, c’est un ensemble comprenant une médiathèque, une salle de projection, des espaces multi fonctionnel et extérieur, le fameux patio qui a été décidé. « Il y a la volonté de construire un équipement public fort, un équipement fédérateur sur la commune, capable d’enclencher une dynamique culturelle et sociale en lien avec les associations locales, les structures locales, les organismes, les entreprises et l’ensemble de la population… », résume Florence Prunet qui souligne le caractère esthétique, harmonieux et fonctionnel du bâtiment. Elle a rendu hommage à l’engament des élus, des bénévoles et des services de la mairie et notamment Anne Fichet, la responsable de la médiathèque de Val d’Oust et coordinatrice du réseau des médiathèques Les mots sur l’eau, constitué avec les communes de Montertelot et Saint-Servant dont les maires étaient présent ce jeudi.

Une mauvaise surprise financière

Mais bien sur dans le déroulé bien huilé du projet du Patio s’est glissé un sacré grain de sable. On peut même parler de gros caillou financier. La décision brutale du conseil départemental de suspendre son aide aux communes a touché de plein fouet le centre culturel de Val d’Oust qui s’est trouvé privé de cette aide. pas question de revenir en arrière compte-tenu de l’avancement du dossier lorsque le Département a pris cette décision. Sur un budget global de 3,2 millions d’euros, la commune a obtenu 100 000 euros de subventions de la région et 480 000 euros de la DRAC (direction régionale des affaires culturelles), soit 20%. Mais c’est tout. Elle tablait sur une aide de 450 000 euros du département sur 3 ans qui ont été gommés du jour au lendemain. « Une mauvaise surprise… », souligne Florence Prunet qui espère un retour de cette aide départementale. Heureusement la situation financière de la commune lui a permis de poursuivre le projet.

107 candidats pour le 1% artistique

Si la construction du Patio avance à un rythme soutenu, il reste encore beaucoup de travail avec notamment le choix du mobilier. Et puis, dans ce genre de dossier, les communes ont l’obligation de consacrer 1% du budget global à un projet artistique. Le Val d’Oust a donc lancé un appel à projets qui a eu un succès inattendu : 107 dossiers de candidatures ont été déposés. Il faudra des semaines pour sélectionner 3 candidats dont un projet sera retenu. On sait juste que cette oeuvre artistique devrait trouver sa place dans le patio.

Après la délicate pose de la première pierre, l’architecte de l’Atelier 56S, en charge du projet, José Prieto, a proposé une visite guidée du chantier que vous pouvez revivre dans notre vidéo.

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Le week-end de Pâques sera le plus circulé de toutes les vacances scolaires de printemps. Il correspond à la première semaine des vacances scolaires pour la zone A¹, la seconde pour la zone C² et la fin des vacances pour la zone B³. Cette période coïncide également avec la fin des congés scolaires au Luxembourg. La journée la plus circulée du week-end sera le vendredi. Des difficultés importantes pourront également être observées samedi dans le sens des départs et lundi dans le sens des retours.

Vendredi 18 avril sera une journée particulièrement chargée. Dans le sens des départs, la journée est classée rouge au niveau national, la circulation sera donc très dense sur les grands axes routiers. Les principales difficultés sont attendues sur les routes en direction des frontières du Nord du pays (A1, A25), de la Normandie (A13), de la façade atlantique (A11, A63) et du quart Sud-Est (A7 et accès à l’Italie par le tunnel du Mont-Blanc en particulier). Les encombrements pourraient apparaître dès le début de la matinée et se prolonger jusque tard dans la soirée.

En Île-de-France, dès la fin de la matinée, la circulation deviendra très dense en direction des barrières de péage des autoroutes A10 et A6 et sur les autoroutes qui y convergent, notamment l’A86 et l’A6b. En milieu d’après-midi, l’augmentation du trafic sur les autoroutes A10 et A6 conjuguée aux trajets domicile-travail pourrait entraîner des difficultés de circulation persistant jusqu’en début de soirée. Par ailleurs, l’autoroute A13 pourrait connaître des ralentissements dès le début de l’après-midi.

Dans le sens des retours, les routes au départ de la moitié Nord devraient être encombrées (A25, A1 et A83), ainsi que celles de la côte méditerranéenne (A7, A8, A9, A54 et A61) et de la région Auvergne-Rhône-Alpes (A41 et A46 principalement).

En Île-de-France, des ralentissements pourraient apparaître à la hauteur de la barrière de péage de l’autoroute A10 en fin d’après-midi.

Samedi 19 avril, dans le sens des départs, des embouteillages importants sont attendus sur les axes desservant les frontières du Nord (A1, A25), la côte normande (A13) et la côte atlantique (A11, A63). Dans une moindre mesure, on pourra observer des ralentissements dans le quart Sud-Est, en particulier sur les autoroutes A6 et A7. Ces difficultés pourraient s’étendre du début de la matinée jusqu’en début de soirée.

En Île-de-France, la circulation sera dense sur les autoroutes A10 et A6 dès le début de la matinée. Elle devrait nettement s’intensifier à partir du milieu de la matinée ainsi que sur l’autoroute A6b et la RN118 qui les rejoignent. L’autoroute A13 connaîtra également des difficultés de circulation pouvant être observées dès le milieu de la matinée. Elles pourraient se prolonger jusqu’en début d’après-midi, dues à la conjugaison de la circulation toujours dense sur les principaux axes et à la circulation générée par l’activité économique du samedi entre la fin de la matinée et le milieu de l’après-midi.

Lundi 21 avril, dans le sens des retours, les autoroutes de la moitié Nord devraient être très chargées (A25, A13, A11 et A71 notamment), ainsi que l’autoroute A7. Ces congestions pourraient apparaître en fin de matinée et se prolonger jusque tard dans la soirée.

En Île-de-France, dès la fin de matinée, la circulation sera dense sur les autoroutes A10 et A6. Des ralentissements pourraient être enregistrés tout le long de l’après-midi sur ces axes et pourraient être encore présents jusque tard dans la soirée (essentiellement sur l’A10). L’autoroute A13 pourrait également enregistrer des difficultés de circulation, du début de l’après-midi jusque tard dans la soirée.

¹ La zone A regroupe les académies de Besançon, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon et Poitiers.

² La zone C regroupe les académies de Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse et Versailles.

³ La zone B regroupe les académies d’Aix-Marseille, Amiens, Caen, Lille, Nancy-Metz, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Reims, Rennes, Rouen et Strasbourg.

Dans le sens des départs :

Vendredi 18 avril est classé rouge au niveau national.

Samedi 19 avril est classé orange au niveau national et rouge dans le Nord, l’Île-de-France et le Grand-Ouest.

Dimanche 20 avril est classé vert au niveau national.

Lundi 21 avril est classé vert au niveau national.

Dans le sens des retours :

Vendredi 18 avril est classé orange au niveau national.

Samedi 19 avril est classé vert au niveau national.

Dimanche 20 avril est classé vert au niveau national.

Lundi 21 avril est classé orange au niveau national et rouge dans le Nord, l’Île-de-France et le Grand-Ouest.

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