La multiplication de mise en péril d'immeubles dans le centre ancien de Toulouse (Haute-Garonne), depuis l'effondrement d'un bâtiment de la rue Saint-Rome en mars 2024, inquiète les habitants. Mais le sujet est aussi devenu politique à moins d'un an des élections municipales.
Malgré un faisceau d’éléments comme des témoignages concordants ou des images dans son téléphone, les juges ont estimé que l’accusé n’était pas dangereux et avait "compris le consentement". Il était mis en examen pour des faits de viol sur une jeune femme, survenus lors d’une soirée à Rennes. Celle-ci s’est donné la mort début 2025.