Au lendemain d’une démonstration de force diplomatique russe, Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Keir Starmer et Donald Tusk ont réclamé, de concert avec les États-Unis et depuis Kyiv, un «cessez-le-feu complet et inconditionnel» de 30 jours à Moscou. Le président français et le chancelier allemand menacent de durcir les sanctions contre la Russie si elle n’accepte pas.
Après plusieurs jours d’affrontements qui ont fait une soixantaine de morts civiles, l’Inde et le Pakistan ont annoncé un cessez-le-feu à effet immédiat. Mais une source gouvernementale indienne affirme qu’il a été violé par le Pakistan.
Le président ukrainien a déclaré dimanche qu’il «attendrait» son homologue russe en Turquie, où ce dernier a proposé plus tôt de tenir des discussions «directes» et «sans condition préalable»" "entre la Russie et l’Ukraine à partir de jeudi. Mais Vladimir Poutine n’a pas accepté le cessez-le-feu de trente jours exigé par les soutiens de l’Ukraine.
À la suite de notre article, «Le conseiller d’État promoteur immobilier à ses heures perdues», publié le 3 mai, nous avons reçu ce droit de réponse de Vincent Mahé, conseiller d’État et ancien directeur de CDC Habitat.